Arrêtez de vouloir être toujours gentil(le) !

La gentillesse est une valeur à la mode dans la sphère privée comme  professionnelle. Pour preuves, c’était, il y a quelques jours, la journée de la gentillesse.  Et puis, vos enfants ne disent-ils pas parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dites-vous pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil !

 

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CULPABILITE COUPABLE

 

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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Pour une rentrée encore plus harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

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(Re) Trouver un équilibre à sa vie

 

Vous avez envie

- de vous sentir vivre pleinement,

- de ressentir que vous êtes à la bonne place 

- de faire des bonnes choses qui vous ressemblent ?

 

Aussi, je vous propose de prendre quelques instants… rien que pour vous, de vous poser et de réfléchir sur votre vie actuelle et ce quelle vous inspire. Cela ne vous prendra que quelques minutes....

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LES 10 EFFETS COLLATÉRAUX DU COACHING

 

Vous souhaitez changer de voie professionnelle, vous sentir plus heureux, mieux communiquer, ou tout simplement oser un projet , une rencontre, aussi envisagez-vous  peut-être de vous faire accompagner?

Mais avant de tester le coaching, il est important de connaître l’impact non négligeable qu'aura cette décision. Outre atteindre le ou les objectif(s) fixé(s), en quoi le coaching va changer votre vie? Vous trouverez ci-dessous 10 effets collatéraux du coaching (liste non exhaustive) :

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POUR NE RIEN REGRETTER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre « to do list »  en 10 questions.

 

Prenez un peu de temps pour vous. Profitez-en  pour faire le point sur votre situation de vie et vous fixer les prochains objectifs qui vous rendront plus heureux !

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Vivre à couple : l’autre effet kiss cool !

 

 

 

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que 

Vivre à couple (côte à côte, à deux, en couple,…)

permettait d’évoluer beaucoup plus vite sur soi-même qu’en vivant seul.

En effet,  l’autre, par sa simple présence met en évidence et bouscule tout ce qui n’est pas en place chez soi.

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CULPABILITE COUPABLE

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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LE PLAN CUPIDON

 

 

 

Pour faire la rencontre de votre vie, il n’existe évidemment pas de formule miracle!  Pour autant, je vous propose de mettre en place, en 10 étapes, une petite stratégie qui vous réservera de très belles surprises. Elle ne demande qu’un peu de temps et vous permettra de devenir "aimable" au deux sens du terme!

  

 

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Sous le regard des autres

© Lamine REGGAD

 

 

A vouloir plaire à tout le monde, on oublie de se plaire à soi-même.

 

 

Qu’est-ce qui fait que nous accordons autant de valeur au regard des autres et au «qu’en dira-t-on»? Pourquoi appréhender le regard d'autrui si ce n'est parce que nous redoutons son jugement?

Vivre, c’est en permanence se confronter à son environnement et donc à tous ceux qui nous entourent ou que nous croisons simplement. 

 

Pourtant, comme moi, vous avez déjà ressenti à un moment ou un autre, une forte appréhension vis-à-vis de ce que le monde extérieur pouvait penser de vous.

 

 

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Soyons moins ours!!!

 

Des chasseurs, obligés de quitter subitement leur campement, le laissèrent sans surveillance, oubliant, dans leur précipitation, une bouilloire d'eau qui bouillait sur le feu.

 

Bientôt, un vieil ours sortit du bois, attiré par la flamme. Apercevant la bouilloire dont la vapeur faisait danser le couvercle, il s'en saisit.

 

Naturellement, il se brûla cruellement. Mais au lieu de la lâcher aussitôt, voulant se défendre, il la serra contre lui, cherchant à l'étouffer. Or, plus il la serrait, et plus la brûlure était profonde et douloureuse. C'était un cercle vicieux, pour le plus grand dam de ce pauvre ours.

 

Comme l’ours, bien souvent nous aggravons nos difficultés. Nous les serrons sur notre cœur en ne cessant d'y penser et d'en parler aux autres, en les examinant sous toutes leurs faces, au lieu de les laisser tomber une fois pour toutes, afin de guérir les blessures qu'elles nous ont causées.

 

Aussi, à chaque fois que nous ressassons nos peines, nous nous disions  en notre for intérieur:  « Ne fais pas comme l'ours ! Lâche-prise !!»

 

Quand nous pardonnons, nous ne changeons rien au passé....... Nous changeons le futur!

 

A bientôt,

Vincent

 

Vous avez besoin d’aide, faites vous accompagner ! Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

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OBJECTIF ATTEINT!

 

 

Quel qu'il soit, pour obtenir un résultat, il faut définir précisément l’objectif à atteindre, sans cela, il risque d’être très difficile à atteindre.

 

A l’exemple de cette phrase qu’au moins une fois, vous vous êtes dits(es) : «je voudrais être plus heureux(se)».

 

Cette formulation a-t-elle suffit à changer les choses ?  Avez-vous détaillé ce que cette phrase voulait dire pour vous : plus heureux(se) comment, plus heureux(se) que quoi,  quand, dans quelle circonstance ?

 

Exprimer un souhait, une demande n’est pas en soi, un objectif suffisant.

 

 

 

 

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APPRENDRE LA VIE

 

 

Tu apprendras la vie...

 

Après quelques temps, tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.

Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.

Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni des promesses…

Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse d’un enfant.

Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et le futur à l’habitude de ne pas tenir ses promesses.

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Les deux "MOI"

 

Un jour, un grand-père dit à son petit-fils : 

« Tu sais qu’il y en toi deux « MOI» ?

Un MOI optimiste et un MOI pessimiste.

D’ailleurs, ils se battent en permanence…

Les jours où tu es positif et de bonne humeur, c’est le MOI optimiste qui gagne. Les jours où tu es maussade, c’est le MOI pessimiste qui l’emporte. »

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L'ECOLE DE LA VIE EN 7 LECONS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                 

 

     

 

 

Mieux vivre: c'est plus pas facile que c'est compliqué, si l'on se réfère au mode d'emploi suivant:

 

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Le stress

Si le stress ressenti, vécu, est indépendant de l'événnement ou de la situation qui l’a créé, le stress est utile voire indispensable pour agir, réagir et évoluer. Il est cependant toujours vécu comme une expérience profondément individuelle et personnelle propre à chacun.  

Etant donné par ailleurs, qu’il est illusoire et impossible d’éliminer toutes les sources de stress auxquelles nous pourrions être confrontés, nous devons donc apprendre à vivre avec et apprendre à le gérer à défaut de lutter contre.

Un stress bien maîtrisé dans son intensité et sa durée, est parait-il, même "bon"et positif!

Facile à dire?!   Ecoutez cette histoire....

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Ne laisser pas vos bonnes résolutions s'envoler!

 

 

 

Vous n’avez pas envie de renoncer à toutes les bonnes résolutions que vous avez prises en ce début d’année. Et pourtant, vous sentez déjà, votre motivation vaciller, vous vous êtes déjà trouvé(e) mille excuses pour reporter  repousser, et puis vous dites « c’est trop dur, je n’aurais pas le temps,... ».

 

Vous n’allez pas laisser tomber, Ah non ! Cependant que faire ? Voici quelques petites suggestions :

  

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Arrêtez de toujours vouloir être gentil !

Demain, 13 novembre, c'est la journée mondiale de la gentillesse.


Mais pourquoi faudrait-il toujours être gentil? En quoi la gentillesse serait-elle une valeur si importe dans la sphère privée comme  professionnelle

C'est quoi être gentil? C'est dire comme nos enfants parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dit-on pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil, c'est dire.... !

 

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Pour une rentrée harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

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Réagir face à l'adversité


Pour illustrer ce propos, laissez-moi vous conter cette histoire :

 

Une jeune femme visite sa mère et lui parle de sa vie et comment elle a de la difficulté à passer à travers chaque journée. Elle ne sait pas comment elle va s'en sortir et elle envisage d'abandonner. Elle est tellement fatiguée de se battre continuellement. Elle a l'impression que lorsqu'un problème est résolu, un nouveau se présente.

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BAC: une équipe gagnante à 100%

Pour un ADO, le Bac sanctionnera une étape de vie importante, parce que « réussir » cette épreuve augure d’un changement significatif qui l’entraîne inexorablement vers le monde adulte (professionnel).  

Au stress de cette période sensible, s’ajoute la pression sociale et celle des parents. Pas facile de réussir dans ces conditions. On a beau se foutre de tout en apparence en bon ADO qu’il se doit, il est plus difficile d’échapper à certaines emprises que d’autres…

 

Quant aux PARENTS, ils jouent bien souvent la réussite de toute leur éducation,  si le gamin réussi, c’est qu’ils ont été bons, s’il rate c’est qu’ils ont failli….

 

L’enjeu du BAC est donc, double. Aussi, je vous propose une méthode pour affronter plus sereinement cette période de stress :

 

 

Et si Vous, ADO & PARENTS, faisiez équipe ! D’accord ? Alors c’est parti !

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Quand JE DÉCIDE remplace IL FAUT


Sollicité de toute part, est-il possible de passer une journée sans dire au moins une fois : « je dois…. » ou « il faut que … » ?  Ces incontournables devoirs, que l’on s’impose parfois soi-même, agacent, fatiguent et ruinent petit à petit notre motivation et notre bonne humeur.

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Le monde tel qu'on le regarde


Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d'une ville, un livre ouvert devant lui.


Un jeune homme s'approcha de lui :

- « Je ne suis pas d'ici, je viens de loin; dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville? »


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5 conseils pour devenir une belle personne parfaitement imparfaite

 

C'est une perfection de n'aspirer point à être parfait.  Fénelon

 

A vouloir toujours être parfait(e), vous vous épuisez, vous stressez et culpabilisez, vous ne savez pas profiter de vos réussites, vous reposer, vous êtes perpétuellement moroses, insatisfaits(es). Dans la vie professionnelle, le perfectionnisme peut vous conduire notamment au burn-out.  Dans la vie privée, il entraîne bon nombre de frustrations tant au sein du couple et avec les enfants que dans les amitiés ou autres activités sociales.

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TRAVAIL & BONHEUR


Peut-on associer le mot bonheur au monde du travail ? Est-ce antinomique ou simplement paradoxal, chacun possède un point de vue sur le sujet… Et si donner du sens aux choses permettait de travailler  à construire le bonheur auquel chacun aspire naturellement. 

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Arrêtez de vouloir être toujours gentil(le) !

La gentillesse est une valeur à la mode dans la sphère privée comme  professionnelle. Pour preuves, c’était, il y a quelques jours, la journée de la gentillesse.  Et puis, vos enfants ne disent-ils pas parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dites-vous pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil !

 

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CULPABILITE COUPABLE

 

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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Pour une rentrée encore plus harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

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(Re) Trouver un équilibre à sa vie

 

Vous avez envie

- de vous sentir vivre pleinement,

- de ressentir que vous êtes à la bonne place 

- de faire des bonnes choses qui vous ressemblent ?

 

Aussi, je vous propose de prendre quelques instants… rien que pour vous, de vous poser et de réfléchir sur votre vie actuelle et ce quelle vous inspire. Cela ne vous prendra que quelques minutes....

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LES 10 EFFETS COLLATÉRAUX DU COACHING

 

Vous souhaitez changer de voie professionnelle, vous sentir plus heureux, mieux communiquer, ou tout simplement oser un projet , une rencontre, aussi envisagez-vous  peut-être de vous faire accompagner?

Mais avant de tester le coaching, il est important de connaître l’impact non négligeable qu'aura cette décision. Outre atteindre le ou les objectif(s) fixé(s), en quoi le coaching va changer votre vie? Vous trouverez ci-dessous 10 effets collatéraux du coaching (liste non exhaustive) :

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POUR NE RIEN REGRETTER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre « to do list »  en 10 questions.

 

Prenez un peu de temps pour vous. Profitez-en  pour faire le point sur votre situation de vie et vous fixer les prochains objectifs qui vous rendront plus heureux !

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Vivre à couple : l’autre effet kiss cool !

 

 

 

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que 

Vivre à couple (côte à côte, à deux, en couple,…)

permettait d’évoluer beaucoup plus vite sur soi-même qu’en vivant seul.

En effet,  l’autre, par sa simple présence met en évidence et bouscule tout ce qui n’est pas en place chez soi.

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CULPABILITE COUPABLE

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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LE PLAN CUPIDON

 

 

 

Pour faire la rencontre de votre vie, il n’existe évidemment pas de formule miracle!  Pour autant, je vous propose de mettre en place, en 10 étapes, une petite stratégie qui vous réservera de très belles surprises. Elle ne demande qu’un peu de temps et vous permettra de devenir "aimable" au deux sens du terme!

  

 

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Sous le regard des autres

© Lamine REGGAD

 

 

A vouloir plaire à tout le monde, on oublie de se plaire à soi-même.

 

 

Qu’est-ce qui fait que nous accordons autant de valeur au regard des autres et au «qu’en dira-t-on»? Pourquoi appréhender le regard d'autrui si ce n'est parce que nous redoutons son jugement?

Vivre, c’est en permanence se confronter à son environnement et donc à tous ceux qui nous entourent ou que nous croisons simplement. 

 

Pourtant, comme moi, vous avez déjà ressenti à un moment ou un autre, une forte appréhension vis-à-vis de ce que le monde extérieur pouvait penser de vous.

 

 

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Soyons moins ours!!!

 

Des chasseurs, obligés de quitter subitement leur campement, le laissèrent sans surveillance, oubliant, dans leur précipitation, une bouilloire d'eau qui bouillait sur le feu.

 

Bientôt, un vieil ours sortit du bois, attiré par la flamme. Apercevant la bouilloire dont la vapeur faisait danser le couvercle, il s'en saisit.

 

Naturellement, il se brûla cruellement. Mais au lieu de la lâcher aussitôt, voulant se défendre, il la serra contre lui, cherchant à l'étouffer. Or, plus il la serrait, et plus la brûlure était profonde et douloureuse. C'était un cercle vicieux, pour le plus grand dam de ce pauvre ours.

 

Comme l’ours, bien souvent nous aggravons nos difficultés. Nous les serrons sur notre cœur en ne cessant d'y penser et d'en parler aux autres, en les examinant sous toutes leurs faces, au lieu de les laisser tomber une fois pour toutes, afin de guérir les blessures qu'elles nous ont causées.

 

Aussi, à chaque fois que nous ressassons nos peines, nous nous disions  en notre for intérieur:  « Ne fais pas comme l'ours ! Lâche-prise !!»

 

Quand nous pardonnons, nous ne changeons rien au passé....... Nous changeons le futur!

 

A bientôt,

Vincent

 

Vous avez besoin d’aide, faites vous accompagner ! Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

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OBJECTIF ATTEINT!

 

 

Quel qu'il soit, pour obtenir un résultat, il faut définir précisément l’objectif à atteindre, sans cela, il risque d’être très difficile à atteindre.

 

A l’exemple de cette phrase qu’au moins une fois, vous vous êtes dits(es) : «je voudrais être plus heureux(se)».

 

Cette formulation a-t-elle suffit à changer les choses ?  Avez-vous détaillé ce que cette phrase voulait dire pour vous : plus heureux(se) comment, plus heureux(se) que quoi,  quand, dans quelle circonstance ?

 

Exprimer un souhait, une demande n’est pas en soi, un objectif suffisant.

 

 

 

 

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APPRENDRE LA VIE

 

 

Tu apprendras la vie...

 

Après quelques temps, tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.

Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.

Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni des promesses…

Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse d’un enfant.

Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et le futur à l’habitude de ne pas tenir ses promesses.

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Les deux "MOI"

 

Un jour, un grand-père dit à son petit-fils : 

« Tu sais qu’il y en toi deux « MOI» ?

Un MOI optimiste et un MOI pessimiste.

D’ailleurs, ils se battent en permanence…

Les jours où tu es positif et de bonne humeur, c’est le MOI optimiste qui gagne. Les jours où tu es maussade, c’est le MOI pessimiste qui l’emporte. »

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L'ECOLE DE LA VIE EN 7 LECONS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                 

 

     

 

 

Mieux vivre: c'est plus pas facile que c'est compliqué, si l'on se réfère au mode d'emploi suivant:

 

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Le stress

Si le stress ressenti, vécu, est indépendant de l'événnement ou de la situation qui l’a créé, le stress est utile voire indispensable pour agir, réagir et évoluer. Il est cependant toujours vécu comme une expérience profondément individuelle et personnelle propre à chacun.  

Etant donné par ailleurs, qu’il est illusoire et impossible d’éliminer toutes les sources de stress auxquelles nous pourrions être confrontés, nous devons donc apprendre à vivre avec et apprendre à le gérer à défaut de lutter contre.

Un stress bien maîtrisé dans son intensité et sa durée, est parait-il, même "bon"et positif!

Facile à dire?!   Ecoutez cette histoire....

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Ne laisser pas vos bonnes résolutions s'envoler!

 

 

 

Vous n’avez pas envie de renoncer à toutes les bonnes résolutions que vous avez prises en ce début d’année. Et pourtant, vous sentez déjà, votre motivation vaciller, vous vous êtes déjà trouvé(e) mille excuses pour reporter  repousser, et puis vous dites « c’est trop dur, je n’aurais pas le temps,... ».

 

Vous n’allez pas laisser tomber, Ah non ! Cependant que faire ? Voici quelques petites suggestions :

  

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Arrêtez de toujours vouloir être gentil !

Demain, 13 novembre, c'est la journée mondiale de la gentillesse.


Mais pourquoi faudrait-il toujours être gentil? En quoi la gentillesse serait-elle une valeur si importe dans la sphère privée comme  professionnelle

C'est quoi être gentil? C'est dire comme nos enfants parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dit-on pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil, c'est dire.... !

 

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Pour une rentrée harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

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Réagir face à l'adversité


Pour illustrer ce propos, laissez-moi vous conter cette histoire :

 

Une jeune femme visite sa mère et lui parle de sa vie et comment elle a de la difficulté à passer à travers chaque journée. Elle ne sait pas comment elle va s'en sortir et elle envisage d'abandonner. Elle est tellement fatiguée de se battre continuellement. Elle a l'impression que lorsqu'un problème est résolu, un nouveau se présente.

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BAC: une équipe gagnante à 100%

Pour un ADO, le Bac sanctionnera une étape de vie importante, parce que « réussir » cette épreuve augure d’un changement significatif qui l’entraîne inexorablement vers le monde adulte (professionnel).  

Au stress de cette période sensible, s’ajoute la pression sociale et celle des parents. Pas facile de réussir dans ces conditions. On a beau se foutre de tout en apparence en bon ADO qu’il se doit, il est plus difficile d’échapper à certaines emprises que d’autres…

 

Quant aux PARENTS, ils jouent bien souvent la réussite de toute leur éducation,  si le gamin réussi, c’est qu’ils ont été bons, s’il rate c’est qu’ils ont failli….

 

L’enjeu du BAC est donc, double. Aussi, je vous propose une méthode pour affronter plus sereinement cette période de stress :

 

 

Et si Vous, ADO & PARENTS, faisiez équipe ! D’accord ? Alors c’est parti !

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Quand JE DÉCIDE remplace IL FAUT


Sollicité de toute part, est-il possible de passer une journée sans dire au moins une fois : « je dois…. » ou « il faut que … » ?  Ces incontournables devoirs, que l’on s’impose parfois soi-même, agacent, fatiguent et ruinent petit à petit notre motivation et notre bonne humeur.

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Le monde tel qu'on le regarde


Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d'une ville, un livre ouvert devant lui.


Un jeune homme s'approcha de lui :

- « Je ne suis pas d'ici, je viens de loin; dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville? »


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5 conseils pour devenir une belle personne parfaitement imparfaite

 

C'est une perfection de n'aspirer point à être parfait.  Fénelon

 

A vouloir toujours être parfait(e), vous vous épuisez, vous stressez et culpabilisez, vous ne savez pas profiter de vos réussites, vous reposer, vous êtes perpétuellement moroses, insatisfaits(es). Dans la vie professionnelle, le perfectionnisme peut vous conduire notamment au burn-out.  Dans la vie privée, il entraîne bon nombre de frustrations tant au sein du couple et avec les enfants que dans les amitiés ou autres activités sociales.

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TRAVAIL & BONHEUR


Peut-on associer le mot bonheur au monde du travail ? Est-ce antinomique ou simplement paradoxal, chacun possède un point de vue sur le sujet… Et si donner du sens aux choses permettait de travailler  à construire le bonheur auquel chacun aspire naturellement. 

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Arrêtez de vouloir être toujours gentil(le) !

La gentillesse est une valeur à la mode dans la sphère privée comme  professionnelle. Pour preuves, c’était, il y a quelques jours, la journée de la gentillesse.  Et puis, vos enfants ne disent-ils pas parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dites-vous pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil !

 

 

Bref, tout le monde se doit d’être gentil, un peu comme dans la chanson de Jacques Brel : «Être une heure, juste une heure, beau, beau… beau et con à la fois ! ». Mais hors de ce côté péjoratif et caricatural de la gentillesse à savoir « il (elle) est d’une naïveté qui confine à la bêtise » ou  « il (elle) se fait avoir tout le temps, trop facile! » ou bien encore « tiens voilà le fayot de service »,  vouloir « être gentil » traduit une réelle volonté de tout un chacun, d’être à la fois généreux, bienveillant et altruiste.

 

Cette louable attitude, souhaitée par tous et tout le temps,  est cependant bien souvent mise à mal pour cause de manipulations parfois démagogiques, d’apparences préservées ou de sélectivités : « Gentil avec son chef … un peu moins avec le personnel. »

 

L’AMBIVALENTE FAUSSE GENTILLESSE

 

En effet, est-ce « être gentil(le) quand nous agissons par excès de serviabilité  pour être mieux vus ou reconnus, quand nous ne faisons seulement que ce que nous aimerions qu’on nous fasse.  

Est-ce être gentil(le)  quand en disant toujours oui, nous ne cherchons qu’à éviter la dispute ou le conflit,  quand nous ne cherchons qu’à masquer notre méchanceté ?

Est-ce être gentil(le) que de se montrer trop flatteur ou dévoué envers autrui pour obtenir sa reconnaissance voire son amour ?

 

Non pas vraiment… Et bien souvent, nous sommes la première victime de notre fausse gentillesse car si nous agissons ainsi c’est parce que nous avons peur de l’autre. Peur qu’il voit notre part d’ombre, nos hontes cachées. Cela nous évite aussi de prendre nos propres responsabilités puisque nous ne faisons que répondre à la volonté de l’autre. Cela nous évite enfin de prendre le risque de « perdre l’autre » si nous lui disions non !

 

FINALEMENT, C’EST QUOI LA VRAIE GENTILLESSE

 

C’est être capable d’affirmer ses besoins tout en écoutant ceux des autres dans une relation égalitaire et authentique. Selon Charles Rojzman, « la vraie gentillesse ne se trouve pas à l’opposé de la méchanceté mais là où réside l’affirmation de soi. Savoir dire non, s’opposer, contester, se révolter nous permet en effet de dire pleinement oui, d’être réellement gentils lorsque nous le désirons ».

La gentillesse ne doit pas conduire au sacrifice. Elle est un acte altruiste né d’un choix affirmé et libre de toutes contraintes, qui procure un bon et beau sentiment renforçant l’estime de soi. La gentillesse est naturelle et dénuée d’intérêt personnel, elle ne s’exprime qu’avec le cœur !

 

ALORS COMMENT DEVENIR UN(E) VERITABLE GENTIL(LE)  

  • Apprenez à ne plus dire oui à tout !  A toutes  les sollicitations qui vous sont faites, temporisez, priorisez, choisissez ! Vous n’êtes l’esclave de personne : ni de vos enfants, ni de votre conjoint, ni de votre travail.
  • Ayez le courage d’affirmer vos désirs, vos propres idées et vos  goûts. Nul, ne vous en aimera moins. Nul, ne vous abandonnera pour cela !
  • Agissez avec bienveillance envers autrui comme envers vous-même. Il faut parfois du cran pour refuser d’aider quelqu’un parce vous pensez que ce n’est pas un bien à rendre en acceptant la demande.

 

La gentillesse, c’est l’amour de soi et des autres…  

Et le pire est que c’est contagieux !

 

Si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à me contacter .

 

 

Le coaching n’est pas une thérapie… C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

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CULPABILITE COUPABLE

 

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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Pour une rentrée encore plus harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

1. Etre conscient de nos valeurs et vivre en accord avec elles.

Les valeurs auxquelles nous sommes attachées nous portent, en vacances comme après. Les (re)connaitre nous rendent cohérents et clairs dans nos actes, nos objectifs. Elles facilitent nos décisions toute l'année.

 

2. Lâcher les fardeaux du passé.

Si notre passé à toute son importance, il n’en reste pas moins qu’il ne doit pas être un fardeau. Parfois nous nous  accrochons à des voix, à des faits qui viennent du passé, nous focalisant sur la perception d’injustices, sur des regrets, de la culpabilité. En libérant notre attention de ces événements, nous devenons plus forts, plus fiers et libres d’aller de l’avant. Trions et ne gardons que les bons souvenirs!

 

3. Envisager son futur.

Sachons où nous allons, même si la destination n’est pas vraiment précise. Ayons au moins une direction pour avancer, même vers un objectif aux contours encore flous. Chaque jour nous apportera sa contribution et nos actes ne seront plus dénués de sens. A défaut, envisageons nos prochaines vacances!

 

4. Vivre dans le Présent.

Clair avec notre passé et notre futur envisagé, nous avons alors le présent pour agir. Tout comme nos actes, la vie se déroule au présent  (Culpabilité = passé, Peur = futur). Sachons rester dans le présent pour être disponible aux opportunités. L’absence de culpabilité et de peur est un excellent indicateur de notre implication dans le présent.

 

5. Tout ce qui a été créé a d’abord été rêvé.

Tout rêve porte en lui, le germe de sa réalisation. Faire de ses rêves une réalité est une option et non une chimère.  Qu’ils nous paraissent trop ambitieux ou irréalistes, le simple fait qu’ils existent en rêve prouve qu’ils existent déjà un peu.  Qu'est ce qui pourrait réellement nous en empêcher? Alors engageons-nous dans leurs réalisations dès maintenant.

 

 6. Laisser les autres vivre leur vie.

Laissons les autres être ce qu’ils sont. Cette notion est très importante pour nous permettre d’être pleinement nous-mêmes et de nous concentrer sur votre vie.  Laissons tomber le « il ou elle devrait » ou toutes autres attentes concernant autrui. Ce fonctionnement est peu rentable pour notre vie et bien trop souvent générateur de déceptions et de stress inutiles.

 

7. Prendre soin de nous.

Nous sommes la seule personne avec laquelle nous pouvons  être sûrs de passer le restant de notre vie. Aussi, soyons prévenant et respectueux de nous-mêmes. Prenons soin de notre santé, de notre moral, de nos rêves… Pour autant, nous souhaitons donner aux autres : mais comment pourrions-nous donner ce que nous n’avons pas ? Pour donner, il faut du stock !!

 

8. Faire des réserves sur nos zones à risque.

Le stress se niche plus facilement sur le terrain du besoin et du manque. Pour éviter ce phénomène, prévoyons des réserves, de temps, d’amours, d’espace, d’argent et d’énergie sur nos zones à risque.

 

9. Rester centré sur son soi et ne pas se perdre pas dans le faire ou dans l’avoir.

Lorsque nous sommes concentrés sur ce que nous sommes et non sur ce que nous avons ou ce que nous faisons, nous avons moins de stress.  Pas plus que nous ne sommes nos actes ou nos possessions, si nous focalisons notre attention sur l’un ou l’autre ou les deux, nous risquons d’être soumis à des tensions ou des conflits.

 

10. Faire de son mieux.

Lorsque nous faisons de votre mieux, notre énergie, nos pensées et nos actes sont mobilisés et dirigés pour un but et/ou un résultat. Qu’importe in fine, ce dernier, c’est le chemin qui importe! Faire de son mieux, c’est être présent dans sa vie. 


Et vous, comment vous y prenez-vous pour vivre au mieux cette rentrée?

Merci de partager dans les commentaires vos propres astuces!



Merci à Anne pour sa magnifique photo: http://anne.marchand3.free.fr

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(Re) Trouver un équilibre à sa vie

 

Vous avez envie

- de vous sentir vivre pleinement,

- de ressentir que vous êtes à la bonne place 

- de faire des bonnes choses qui vous ressemblent ?

 

Aussi, je vous propose de prendre quelques instants… rien que pour vous, de vous poser et de réfléchir sur votre vie actuelle et ce quelle vous inspire. Cela ne vous prendra que quelques minutes....

Pour vous faciliter la tâche, je vous propose de « découper » votre vie en 8 grands secteurs recouvrant tous les différents aspects de votre vie :

  • Amour, couple
  • Travail et affaires
  • Argent et finances
  • Santé, forme
  • Loisirs et détente, plaisir
  •  Environnement- social
  • Développement personnel
  • Amis, famille

 

Ainsi, selon votre situation actuelle, chacune de ces parties prend une place plus ou moins importante dans votre vie. L’objectif in fine, sera donc de donner à chacune de ces portions, la couleur, la dimension et la consistance nécessaires pour atteindre l’équilibre qui vous permettra de ressentir la sérénité et le bien-être qui vous conviennent.

 

Pour passer de la théorie à la pratique,

je vous invite donc à prendre une feuille blanche…et à….

 

1. Dessinez un cercle divisé en 8 parties égales qui correspondront à chaque domaine de votre vie (ci dessus) puis en partant du centre (pas du tout satisfait) vers l’extérieur de la roue (tout à fait satisfait), coloriez votre degré de satisfaction selon les sphères.

 

Par exemple, regardez si votre travail prend tout votre temps dans une journée, vous pouvez le colorier de façon importante. Vous devez traduire le plus fidèlement possible la réalité concrète de votre quotidien et non ce que vous désireriez qu’elle soit.

Après avoir colorié chaque portion, vous avez alors le portrait de ce à quoi ressemble votre vie.

 

2. Cette forme que vous dit-elle ? (Ecrivez les mots clés sur le côté)

Vous visualisez ainsi clairement les endroits où vous accordez plus d’énergie, et ceux qui mériteraient plus d’investissement.

 

3. Maintenant que vous avez observé la « roue de votre vie », vous pouvez vous concentrer sur 1 ou 2 secteurs que vous désirez faire bouger d’un niveau x à un niveau x+1 et qui nécessitent selon vous le plus de rééquilibrage ?

 

4. Comment ce secteur pourrait être amélioré ? Comment pourrait-il être différent ? A quoi pourrait-il ressembler si vous posiez quelques actions ? Imaginez, visualisez ?

 

 

Vous n’avez pas de réponse immédiate, alors affichez votre dessin sur la porte de votre frigidaire pour la voir régulièrement et pouvoir y noter la bonne idée… demain. Pour vous inspirer, vous pouvez également coller autour de votre roue, des images qui vous parlent, prises au hasard de vos lectures de magazines...

 

 

Petit à petit vous allez ainsi vous focaliser, secteur par secteur, sur la ou les situations à améliorer pour aspirer à votre vie «idéale ». Il n’y a plus alors qu’à expérimenter ce que vous avez identifié et imaginé…. Dès lors les choses vont très vite bouger ! Et plus votre roue sera pleine et colorée, plus vous aurez le sentiment d’avancer, de rayonner et d’être à votre équilibre!


La vie, c'est comme une bicyclette,

il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.

Albert Einstein


Vous avez envie d’aller plus loin? Alors n’hésitez pas, à me transmettre le dessin de votre roue en message privé.

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous. En moyenne, 6 à 8 séances sur 2 à 4 mois suffisent pour atteindre objectif(s) et autonomie!

 

A très bientôt

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LES 10 EFFETS COLLATÉRAUX DU COACHING

 

Vous souhaitez changer de voie professionnelle, vous sentir plus heureux, mieux communiquer, ou tout simplement oser un projet , une rencontre, aussi envisagez-vous  peut-être de vous faire accompagner?

Mais avant de tester le coaching, il est important de connaître l’impact non négligeable qu'aura cette décision. Outre atteindre le ou les objectif(s) fixé(s), en quoi le coaching va changer votre vie? Vous trouverez ci-dessous 10 effets collatéraux du coaching (liste non exhaustive) :

  1. La perte d’identité. 

Vous ne vous reconnaîtrez pas ! En effet, le coaching est connu et efficace pour aider à se découvrir et apprendre la confiance, l’estime et l’affirmation de soi. Aussi, vous deviendrez chaque jour un peu plus, celui ou celle que vous avez toujours voulu être !

 

        2. Le ralentissement de la respiration. 

Les gens qui suivent un accompagnement coaching ont ensuite besoin de plus de temps entre chaque respiration, que ce soit quand ils agissent ou quand ils sont en période de repos car ils mettent leurs sens en éveil. Attentif aux perceptions visuelles, auditives, kinesthésiques voire olfactives et gustatives qu’ils avaient oubliées, ils prennent plaisir à les ressentir et à vivre.

 

         3. La réduction du stress et de l’agressivité. 

Après un accompagnement,  les coachés sont généralement moins enclin à se sentir coupable et à être agressifs, bien que cela puisse parfois poser problème pour la survie dans le monde d’aujourd’hui.  

Faisant preuve enfin d’empathie envers eux-mêmes, les coachés montrent également gratitude et compassion à leur entourage. Ce dommage collatéral bien involontaire reste néanmoins, largement très apprécié par tous!!

 

        4. Le pouvoir de changer le monde 

N’en croyez rien ! Seul votre regard sur le monde, changera!  De cet  apprentissage écologique, vous savez désormais comment atteindre un objectif cohérent avec vos valeurs intrinsèques. Ainsi,  en devenant au quotidien, responsable et acteur de votre vie, vous saurez toujours trouver confiance en votre aptitude à savoir vous adapter aux perpétuels changements qu’offre ce monde. 

 

       5. La stimulation mentale naturelle

Ceux qui utilisent ensuite régulièrement à leur profit les outils de coaching,  ont la sensation naturelle d’être toujours congruent et libre, en pleine conscience de leurs actes et parfaitement  à leur place.  Ils ne peuvent donc pas justifier de quelconques excipients pour vivre le présent et  construire l’avenir.

 

      6. Un sentiment d’invincibilité

Les personnes qui parviennent à l’issue d’un coaching à mettre en œuvre leurs rêves les plus intimes, ont souvent la dangereuse impression qu’elles peuvent réaliser quoi que ce soit.

« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait ! »

 

      7. La dépendance à la curiosité 

La pratique du coaching peut conduire également à pratiquer d’autres activités.  Le coaching encourage l’autonomie,  l’imagination et  la curiosité, l’exploration, et peut même provoquer dans certains cas, une forte dépendance à la volonté de découvrir le monde.

       

      8. Une joie extrême

Le coaching permettant d’identifier l’origine de nos colères et frustrations, il conduit les coachés  à l’écart du passe-temps le plus populaire qui consiste être médisant et maugréer sur les malheurs du monde et la mauvaise météo. 

Attention néanmoins, des sourires trop fréquents peuvent provoquer des rides d’expression sur le visage.

 

      9. La procrastination utile 

La pratique du coaching  rend insensible à la pression, au regard des autres, au harcèlement, au dénigrement et permet d’organiser à son rythme, une saine procrastination afin d’atteindre l’objectif fixé  avec une désobligeante efficience. Cet effet secondaire est quant à lui, très apprécié professionnellement parlant.

 

      10. La baisse du PIB

Préférant  l’  « Etre » à l’ « Avoir », la qualité à la quantité,  la pratique du coaching diminue le consommateurisme aveugle et induit notamment une baisse sensible des profits de l’industrie pharmaceutique tout en limitant les problèmes de santé publique contribuant ainsi à la baisse du PIB.

A l’inverse, le  BLI (Better Life Index) lui,  tend à croître!

 

Mais bien évidemment, vous n’êtes pas obligés de me croire… 

 

 

N'hésitez pas à vous laisser surprendre et me contacter, le 1er RDV est  offert!

 

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POUR NE RIEN REGRETTER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Votre « to do list »  en 10 questions.

 

Prenez un peu de temps pour vous. Profitez-en  pour faire le point sur votre situation de vie et vous fixer les prochains objectifs qui vous rendront plus heureux !

1) Ma vie est-elle comme je le souhaite et non conformément à ce qu’on attend de moi ?

 

2) Ai-je le courage de toujours exprimer et montrer mes sentiments?

 

3) Quelles amitiés n’ai-je pas assez entretenu ces dernier temps ?

 

4) Est-ce que je m’autorise suffisamment à être heureux ?

 

5) Est-ce que mon équilibre travail/vie privée est raisonnablement préservé et me convient ?

 

6) Quel voyage, quelle découverte, quel apprentissage pourrais-je faire encore demain ?

 

7) Ai-je véritablement pardonné et soldé les différends et les rancunes passées qui m’opposent à certains de mes proches ?

 

8) Ma santé me procure t’elle ce sentiment de liberté qui me permet de me sentir bien ?

 

9) Suis-je le bon gestionnaire de mes rêves encore à réaliser ?

 

10) Est-ce que je réalise mes fantasmes et fais l’amour aussi souvent que je le souhaite ?

 

 

Les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais. Oscar Wilde

 

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Vivre à couple : l’autre effet kiss cool !

 

 

 

Ne vous êtes-vous pas déjà rendu compte que 

Vivre à couple (côte à côte, à deux, en couple,…)

permettait d’évoluer beaucoup plus vite sur soi-même qu’en vivant seul.

En effet,  l’autre, par sa simple présence met en évidence et bouscule tout ce qui n’est pas en place chez soi.

Aussi, au quotidien, cela  nous oblige, au sens le plus noble du verbe:

 

A apprendre à se connaître soi-même (conscience de soi, affirmation de soi, amour de soi,…) et à découvrir l’autre et son monde (comment il fonctionne, quelles sont ses valeurs, sa vision…)

 

A accueillir l’autre inconditionnellement (pour ce qu’il est et non ce qu’il devrait être…) et de communiquer intelligemment (interroger plutôt qu’interpréter, savoir demander, savoir gérer le non…)

 

A s’autoriser à être pleinement en présence de l’autre (dans l’unité et la simplicité)

 

A soutenir l’autre (en faisant confiance à sa capacité à trouver la solution ou à savoir demander s’il en a besoin)

 

L’autre est un révélateur et un soutien pour être un peu plus soi-même. Alors, prenez soin de vous et de l’autre!

 

Aime et ce que tu veux, fais-le. 

                                   Saint Augustin

 

Merci de partager et de poursuivre cette discussion via les commentaires.

 

Si vous souhaitez aller plus loin, sous la forme d’un accompagnement de couple ou individuellement, n’hésitez pas à me contacter – Confidentialité assurée.

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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CULPABILITE COUPABLE

Quel est ce sentiment intime de culpabilité qui sans cesse vous accompagne… et vous ronge ? Qu’avez-vous fait d’interdit ?

 

A l’inverse de la honte, la culpabilité est un sentiment que nous ressentons indépendamment du jugement d’autrui.

 

Par exemple, lorsque des critères personnels auxquels nous tenons ont été transgressés. Pour autant la culpabilité est très utile car elle nous montre nos propres limites et nous incite à ne pas recommencer.

 

Notre éducation est souvent à la source de notre culpabilité car ce sont les valeurs inculquées pendant notre enfance qui nous forgent et nous indiquent ce qui est bien ou pas. Lorsque nous agissons d’une mauvaise manière selon ces valeurs, nous nous sentons coupables.

 

Toutefois, la culpabilité peut être injustifiée car en grandissant nous pouvons nous détacher des valeurs parentales et s’en créer des personnelles. Dans ce cas-là, la culpabilité est souvent de courte durée et permet de rompre ce lien familial, de couper le cordon, si besoin.

 

Comprendre pourquoi nous nous sentons coupable. Le plus important pour maîtriser sa culpabilité est de savoir si nous la ressentons parce qu’une règle n’a pas été respectée ? A été transgressée ? Allons-nous recommencer ? Grâce à ces réponses, il est alors possible d’évaluer la gravité de l’acte.

 

Car c’est de cela qu’il s’agit : qui dit culpabilité, dit faute grave.

 

En examinant les conséquences de cet acte, on peut dire que nous sommes coupables (avons-nous blessé ?) ou simplement responsables (sans conséquence négative) ? La différence est grande.

 

En effet, la responsabilité n’implique pas de conséquences graves comme la culpabilité. Ensuite il est important de se demander s’il était possible de procéder autrement.

 

Enfin, nous pouvons aussi nous demander qui avait fixé cet interdit et pour quelle(s) raison(s) ? En effet, si nos parents nous avaient interdit de manger des bonbons le matin lorsque nous étions enfant, il n’est pas forcément logique que nous nous sentions encore coupable à l’âge adulte…

 

 

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Que dire à un jeune...

Quand on a connu tout et le contraire de tout,
quand on a beaucoup vécu et qu’on est au soir de sa vie,
on est tenté de ne rien lui dire,

sachant qu’à chaque génération suffit sa peine,
sachant aussi que la recherche, le doute, les remises en cause
font partie de la noblesse de l’existence.
Pourtant, je ne veux pas me dérober,
et à ce jeune interlocuteur, je répondrai ceci,
en me souvenant de ce qu’écrivait un auteur contemporain :
«Il ne faut pas s’installer dans sa vérité
et vouloir l’asséner comme une certitude,
mais savoir l’offrir en tremblant comme un mystère».
A mon jeune interlocuteur,
je dirai donc que nous vivons une période difficile
où les bases de ce qu’on appelait la Morale
et qu’on appelle aujourd’hui l’Ethique,
sont remises constamment en cause,
en particulier dans les domaines du don de la vie,
de la manipulation de la vie,
de l’interruption de la vie.
Dans ces domaines,
de terribles questions nous attendent dans les décennies à venir.
Oui, nous vivons une période difficile
où l’individualisme systématique,
le profit à n’importe quel prix,
le matérialisme,
l’emportent sur les forces de l’esprit.
Oui, nous vivons une période difficile
où il est toujours question de droit et jamais de devoir
et où la responsabilité qui est l’once de tout destin,
tend à être occultée.
Mais je dirai à mon jeune interlocuteur que malgré tout cela,
il faut croire à la grandeur de l’aventure humaine.
Il faut savoir,
jusqu’au dernier jour,
jusqu’à la dernière heure,
rouler son propre rocher.
La vie est un combat
le métier d’homme est un rude métier.
Ceux qui vivent sont ceux qui se battent. Il faut savoir
que rien n’est sûr,
que rien n’est facile,
que rien n’est donné,
que rien n’est gratuit.
Tout se conquiert, tout se mérite.
Si rien n’est sacrifié, rien n’est obtenu.
Je dirai à mon jeune interlocuteur
que pour ma très modeste part,
je crois que la vie est un don de Dieu
et qu’il faut savoir découvrir au-delà de ce qui apparaît comme l’absurdité du monde,
une signification à notre existence.
Je lui dirai
qu’il faut savoir trouver à travers les difficultés et les épreuves,
cette générosité,
cette noblesse,
cette miraculeuse et mystérieuse beauté éparse à travers le monde,
qu’il faut savoir découvrir ces étoiles,
qui nous guident où nous sommes plongés
au plus profond de la nuit
et le tremblement sacré des choses invisibles.
Je lui dirai
que tout homme est une exception,
qu’il a sa propre dignité
et qu’il faut savoir respecter cette dignité.
Je lui dirai
qu’envers et contre tous
il faut croire à son pays et en son avenir.
Enfin, je lui dirai
que de toutes les vertus,
la plus importante, parce qu’elle est la motrice de toutes les autres
et qu’elle est nécessaire à l’exercice des autres,
de toutes les vertus,
la plus importante me paraît être le courage, les courages,
et surtout celui dont on ne parle pas
et qui consiste à être fidèle à ses rêves de jeunesse.
Et pratiquer ce courage, ces courages,
c’est peut-être cela
«L’Honneur de Vivre»

 

 

Hélie de Saint Marc

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LE PLAN CUPIDON

 

 

 

Pour faire la rencontre de votre vie, il n’existe évidemment pas de formule miracle!  Pour autant, je vous propose de mettre en place, en 10 étapes, une petite stratégie qui vous réservera de très belles surprises. Elle ne demande qu’un peu de temps et vous permettra de devenir "aimable" au deux sens du terme!

  

 

« La vie, c'est ce qui arrive lorsqu'on avait prévu autre chose ».

 

Observer

Tout d’abord montrez-vous curieux !  Soyez ouvert et sans jugement sur le monde autour de vous… Commencez par observer quel genre d’homme attire les femmes que vous aimez (et inversement !). Le but n’étant pas de les copier, mais l’observation donne toujours de précieux indices pour savoir ensuite comment vous, vous pourriez vous y prendre.

 

“Le sens de l’observation est capital à celui qui souhaite s’améliorer”

 

Être honnête avec soi-même

Après avoir observé les autres, tournez-vous vers vous. Observez-vous et soyez honnête avec vous-même : Qui êtes-vous ? Comment vous comportez-vous ? Quelle image donnez-vous de vous-même ?

Pourquoi je ne trouve pas de partenaire qui me plait ? Je me sens moche ? Je m’habille mal ? Je ne suis pas drôle ? Je suis trop si… je suis trop ça… Répondre à ces questions fait parfois un peu mal à l’égo, mais c’est une étape obligatoire.

La prochaine fois que vous vous prenez en flagrant délit de mensonge ou d’aveuglement envers vous-même, prenez du recul, et acceptez la vérité. Habituez-vous à faire ça. Et acceptez qui vous êtes. C’est le point de départ.

 

“Pour progresser, il faut avoir remis en cause beaucoup de choses.”

 

Devenir celui ou celle que vous êtes

 

Quel est votre projet de vie ? Le définir  peut paraître du flan pour certains, mais savoir ce qu’on veut et pourquoi on le veut dans la vie fait partie des grandes étapes de la vie d’un être. Pensez aux rêves que vous aviez enfant ou ceux enfouis. Vous pouvez les réaliser. Commencez doucement, mais commencez, il n’est jamais trop tard et maintenant est toujours le bon moment.

 

“Pour obtenir la femme de vos rêves, devenez l’homme de vos rêves”  (et inversement.. !)

 

Savoir ce qu’on aime chez l’autre

Quel type de personne aimez-vous ? Posez-vous la question, et surtout observez pour éviter d’avoir des réponses du style « grande brune ou beau gosse ». Par exemple, des traits importants pour moi,  sont :  la qualité de la peau, la douceur ou la force de sa voix, sa prestance, son assurance, sa sensibilité à l’humour et à l’intelligence….

 

« La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. » O Wilde

 

Soigner son image

Maintenant il faut que vous dégagiez toutes les valeurs de l’homme que vous êtes. Envoyer le signal que vous êtes intéressant et intelligent : vos habits, votre peau, votre attitude, votre démarche, votre style … L’apparence c’est tout ce qui émane de vous et de vos choix.

 

“Votre image communique en un instant vos valeurs.”

 

Aller dans les endroits qui vous plaisent

Vous aurez plus de chances d’y trouver les gens qui vous plaisent. C’est certainement le facteur le plus important pour trouver celui ou celle que vous apprécierez.

 

“L’amour est au minimum une histoire à trois : un homme, une femme et un lieu de vie.” 

 

Etre sociable

Montrez-vous encore plus sociable avec votre entourage. Entraînez-vous à parler, communiquer, sourire, écouter et surmonter vos peurs. Le jour où il faudra que vous abordiez l’autre alors, ce sera plus facile. Vos connaissances sont plus nombreuses, votre cercle s’agrandit, les rencontres se multiplient.

 

« Mieux vaut allumer sa petite bougie que maudire les ténèbres ». Lao Tseu

 

Jouer

Mais ne vous la jouez pas ! Ne vous prenez pas au sérieux. Évitez la frime! En général c’est qu’il y a un truc qui cloche derrière. En plus, les femmes – et les hommes – détestent de ça.

 

« N'essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur ». Albert Einstein

 

Désirer

Après avoir travaillé sur vous, sûr de vos valeurs, respectueux de vous-même comme d’autrui, laissez-vous aller à désirer… comme à vous faire désirer ! Lorsque votre désir vous guide, tout devient naturel. Vous allez alors communiquer les bons “signaux”, les bonnes émotions et les bonnes sensations et votre rencontre aura le goût de l’évidence.

 

« Trouver le ou la partenaire de votre vie n’est pas un projet de vie, mais une des conséquences de celui-ci ».

 

Etre meilleur

Quelque soit le stade où vous en êtes de votre conquête, l’élu(e) de votre cœur n’est pas un objet. Rien n’est acquis. Alors, continuez à toujours incarner cette personne vivante et passionnante qui l’a fait se retourner sur vous.

 

« La vie, c'est ce qui arrive lorsqu'on avait prévu autre chose ».

 

 

A vous maintenant d’écrire la suite de l’histoire….

 

 

Merci à Julien Soulage et à l'équipe du film pour le droit à l'image: 

http://vimeo.com/51924598

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Sous le regard des autres

© Lamine REGGAD

 

 

A vouloir plaire à tout le monde, on oublie de se plaire à soi-même.

 

 

Qu’est-ce qui fait que nous accordons autant de valeur au regard des autres et au «qu’en dira-t-on»? Pourquoi appréhender le regard d'autrui si ce n'est parce que nous redoutons son jugement?

Vivre, c’est en permanence se confronter à son environnement et donc à tous ceux qui nous entourent ou que nous croisons simplement. 

 

Pourtant, comme moi, vous avez déjà ressenti à un moment ou un autre, une forte appréhension vis-à-vis de ce que le monde extérieur pouvait penser de vous.

 

 

Les autres vous perçoivent 20% plus attrayant que ce que vous croyez !

 

Tout le monde se soucie du regard des autres et ce phénomène nous entraine bien souvent sur un chemin qui n’est pas le vrai-nôtre !

Qui ne pense pas (par exemple) à la façon dont il va être perçu lorsqu’il s’habille le matin, prend la parole en public ou rencontre des inconnus, ou se rend à un entretien professionnel? La peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être perçu comme capable de s’adapter, peut créer une forte angoisse.

 

Alors comment se libérer du regard des autres et vivre pleinement sa vie :

 

Pour commencer, posez-vous la question suivante : suis-je le centre d’intérêt de mon environnement ? Ma personne est-elle si importante, que tous les individus que je vais croiser aujourd’hui émettront un jugement personnel à mon égard ? Ou ne suis-je qu’une toute petite partie d’un ensemble bien plus vaste.

 

 

 

Le regard des autres : un effet miroir déformant

 

En effet, quels que soient votre tenue vestimentaire, vos mots, vos gestes, ils ne seront pas analysés, décortiqués voire parfois moqués au-delà des 30 secondes…. et très exceptionnellement pendant 5 minutes, une journée, une semaine… On pourrait parler de vous, mais cela s’arrêtera là.

N’oubliez pas que tous les individus que vous croisez ont leurs propres soucis, leurs propres priorités et très certainement cette même appréhension que vous.

 

Le regard des autres et les jugements personnels ont tous la même valeur

 

Comme tout le monde vous avez envie de plaire, alors restez objectif et accordez la même importance à tout commentaire reçu.

Vous n’êtes pas qu’un moins que rien si vous commettez une erreur et encore moins un "Dieu" si vous obtenez un  succès.

 

Ne voyez pas cela comme une incitation à vous sentir moins important,

 bien au contraire, c’est surtout le moyen de vous sentir plus libre !

 

 

 

Travaillez votre propre jugement personnel !

Vous êtes une personne unique avec son identité propre, sa personnalité. Voudriez-vous vraiment ressembler à l’autre en tout point ? Seriez-vous heureux en clone ? Il y a certainement des choses qui vous plaisent chez l’autre mais pas tout. Non ?

Et si vous, vous construisiez à l’image de celui ou celle que vous avez toujours voulu être ?

 

Ajustez vos jugements personnels à vos émotions

L’erreur est humaine et on ne peut pas plaire à tout le monde.

Avant de juger quelqu’un, demandez-vous comment vous réagiriez dans la même situation et essayez de vous assimiler à cette personne.

Montrez-vous tolérant et compatissant à son égard puis  envers vous-même !

 

Relativiser le regard des autres

Le regard des autres reflète bien souvent leur propre insécurité et leur désir de reconnaissance.

Pourquoi dans ce cadre vous borner à tenter de satisfaire au regard des autres, si ce n’est vous limiter dans votre capacité à vous épanouir et à vivre votre vie comme vous l’entendez…

 

Essayez !!!

Et dites : « la peur du regard des autres…   ça, c’était avant ! »

 

 

 

Je vous propose de partager vos expériences via les commentaires.

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Soyons moins ours!!!

 

Des chasseurs, obligés de quitter subitement leur campement, le laissèrent sans surveillance, oubliant, dans leur précipitation, une bouilloire d'eau qui bouillait sur le feu.

 

Bientôt, un vieil ours sortit du bois, attiré par la flamme. Apercevant la bouilloire dont la vapeur faisait danser le couvercle, il s'en saisit.

 

Naturellement, il se brûla cruellement. Mais au lieu de la lâcher aussitôt, voulant se défendre, il la serra contre lui, cherchant à l'étouffer. Or, plus il la serrait, et plus la brûlure était profonde et douloureuse. C'était un cercle vicieux, pour le plus grand dam de ce pauvre ours.

 

Comme l’ours, bien souvent nous aggravons nos difficultés. Nous les serrons sur notre cœur en ne cessant d'y penser et d'en parler aux autres, en les examinant sous toutes leurs faces, au lieu de les laisser tomber une fois pour toutes, afin de guérir les blessures qu'elles nous ont causées.

 

Aussi, à chaque fois que nous ressassons nos peines, nous nous disions  en notre for intérieur:  « Ne fais pas comme l'ours ! Lâche-prise !!»

 

Quand nous pardonnons, nous ne changeons rien au passé....... Nous changeons le futur!

 

A bientôt,

Vincent

 

Vous avez besoin d’aide, faites vous accompagner ! Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

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OBJECTIF ATTEINT!

 

 

Quel qu'il soit, pour obtenir un résultat, il faut définir précisément l’objectif à atteindre, sans cela, il risque d’être très difficile à atteindre.

 

A l’exemple de cette phrase qu’au moins une fois, vous vous êtes dits(es) : «je voudrais être plus heureux(se)».

 

Cette formulation a-t-elle suffit à changer les choses ?  Avez-vous détaillé ce que cette phrase voulait dire pour vous : plus heureux(se) comment, plus heureux(se) que quoi,  quand, dans quelle circonstance ?

 

Exprimer un souhait, une demande n’est pas en soi, un objectif suffisant.

 

 

 

 

 

 Un objectif s’accompagne de règles et de critères biens précis. Aussi, prenez le temps,  afin de pouvoir formuler votre objectif en une à deux phrases. N’oubliez pas, que quand vous prononcez cette phrase « Objectif » et que vous devrez avoir « les yeux qui brillent », sinon il y a de grandes possibilités que cet objectif ne vous « emballe » pas vraiment, et que son espérance de réussite s’en trouve sensiblement réduite.

 

En attendant, je vous propose une liste de question que vous pouvez vous poser pour définir clairement votre objectif.

 

Définir un objectif en 10 questions.

 

1) Que voulez-vous exactement ? A formuler toujours positivement (pas de négation) !

 

2) Comment saurez-vous que vous l'avez obtenu ? Définissez des critères d’évaluations concrets et tangibles.

 

3) Quand et où souhaitez-vous y parvenir ? Fixez-vous une date butoir pour réaliser votre objectif.

 

4) De qui dépend l'obtention de ce que vous voulez ? Si l’objectif dépend d’une autre personne que vous, il y a problème… 

 

5) De quelles ressources disposez-vous pour y arriver ? De quoi disposez-vous pour réaliser votre objectif, quelles sont vos ressources.

 

6) De quelles ressources avez-vous besoin ? Que vous manque-t-il pour réaliser votre objectif.

 

7) Qu'obtiendrez-vous lorsque vous aurez atteint votre objectif ? Quel résultat attendez-vous de votre objectif ?

 

8) En quoi cela vaut-il tous les efforts que cela suppose ? Est-il suffisamment attrayant pour être réalisé ?

 

9) Quel est le prix à payer pour atteindre cet objectif ? Cette question peut vous faire abandonner votre objectif, ce qui peut être salutaire.

 

10) Quelles retombées cela peut-il avoir sur votre entourage ? S’il est clair que la réalisation de votre objectif peut vous apporter une satisfaction, ou un quelconque bénéfice, quand est-il pour votre entourage ?

 

Voila très succinctement la liste de question que vous devrez vous poser pour réaliser dans des conditions satisfaisantes votre objectif.

Désormais c'est à vous de jouer, la réussite vous attend!

 

Merci à Tintin & Hergé pour cette image issue d'Objectif Lune

 

Vous avez un objectif, vraiment important pour vous et vous n'y parvenez pas seul et si vous vous faisiez accompagner?

Pour en savoir plus, n’hésitez pas, à prendre contact : vincent.gaillard@activalue.net

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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APPRENDRE LA VIE

 

 

Tu apprendras la vie...

 

Après quelques temps, tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.

Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.

Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni des promesses…

Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse d’un enfant.

Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et le futur à l’habitude de ne pas tenir ses promesses.

 Après un certain temps, tu apprendras que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.

Tu accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois, et que tu auras à leur pardonner.

Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.

Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance, et à peine quelques secondes pour la détruire, et que, toi aussi, tu pourras faire des choses dont tu te repentiras le reste de ta vie.

Tu apprendras que les vraies amitiés continuent à grandir malgré la séparation.

Et que ce qui compte, ce n’est pas ce que tu possèdes, mais qui compte dans ta vie…

Et que les bons amis sont la famille qu’il nous est permis de choisir.

Tu apprendras que nous n’avons pas à changer d’amis, si nous acceptons que nos amis changent et évoluent.

Tu expérimenteras que tu peux passer de bons moments avec ton meilleur ami en faisant n’importe quoi, ou rien, seulement pour le plaisir de jouir de sa compagnie.

Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère les personnes qui nous importent le plus ; et pour cela nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons, car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…

Tu apprendras que les circonstances, et l’ambiance qui nous entoure, ont une influence sur nous, mais que nous sommes les uniques responsables de ce que nous faisons.

Tu commenceras à comprendre que nous ne devons pas nous comparer aux autres, sauf si nous désirons les imiter pour nous améliorer.

Tu découvriras qu’il te faut beaucoup de temps pour être enfin la personne que tu désires être, et que le temps est court…

Tu apprendras que si tu ne contrôles pas tes actes, eux te contrôleront, et que être souple ne signifie pas être mou ou ne pas avoir de personnalité : car peu importe combien délicate ou complexe est une situation, il y a toujours deux manières de l’aborder.

Tu apprendras que les héros sont des personnes qui ont fait ce qu’il était nécessaire de faire, en assumant les conséquences.

Tu apprendras que la patience requiert une longue pratique.

Tu découvriras que parfois, la personne dont tu crois qu’elle te piétinera si tu tombes, parfois est l’une des rares qui t’aidera à te relever.

Mûrir dépend davantage de ce que t’apprennent tes expériences que les années que tu as vécu.

Tu apprendras que tu tiens beaucoup plus de tes parents que tu veux bien le croire.

Tu apprendras qu’il ne faut jamais dire à un enfant que ses rêves sont des bêtises, car peu de choses sont aussi humiliantes ; et ce serait une tragédie s’il te croyait, car cela lui enlèverait l’espérance !

Tu apprendras que, lorsque tu sens de la colère et de la rage en toi, tu en as le droit, mais cela ne te donne pas le droit d’être cruel.

Tu découvriras que, simplement parce que telle personne ne t’aime pas comme tu le désires, cela ne signifie pas qu’elle ne t’aime pas autant qu’elle en est capable : car il y a des personnes qui nous aiment, mais qui ne savent pas comment nous le prouver…

Il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres, parfois tu auras à apprendre à te pardonner à toi-même…

Tu apprendras que, avec la même sévérité que tu juges les autres, toi aussi tu seras jugé et, parfois, condamné…

Tu apprendras que peu importe que tu aies le cœur brisé, le monde ne s’arrête pas de tourner.

Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière. Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre que les autres te portent des fleurs…

Alors, et seulement alors, tu sauras ce que réellement tu peux endurer ; que tu es fort, et que tu pourras aller bien plus loin que ce que tu le pensais quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer!

C’est que réellement la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter !

 

Jorge Luis Borgès

 

Que vous inspire ce texte? N'hésitez pas à partager vos réflexions via les commentaires.

 

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Les deux "MOI"

 

Un jour, un grand-père dit à son petit-fils : 

« Tu sais qu’il y en toi deux « MOI» ?

Un MOI optimiste et un MOI pessimiste.

D’ailleurs, ils se battent en permanence…

Les jours où tu es positif et de bonne humeur, c’est le MOI optimiste qui gagne. Les jours où tu es maussade, c’est le MOI pessimiste qui l’emporte. »

Le petit garçon demande alors : « Ah oui ? Mais du coup, est-ce qu’on peut tendre une embuscade au MOI pessimiste et s’en débarrasser ? ».

Son grand-père répond : « Hélas, on ne peut pas tuer un MOI aussi facilement… Ils vivent avec toi et seront tous les deux avec toi jusqu’au bout… ».

« Ah… Mais il n’y a rien à faire alors… »  s’attriste le garçon.

Le grand-père répond avec un sourire : « Je n’ai pas dit ça non plus… ».

Le petit garçon demande alors : « Dis-moi grand-père, qui est le plus fort des deux ? ».
Son grand-père répond : « Et bien, justement, le problème, c’est que l’un et l’autre sont tout aussi forts ».

Le petit garçon renchérit : « Lequel est le plus rapide alors ? ».

Le grand-père répond : « Le problème aussi, c’est qu’ils sont tous les deux aussi rapides l’un que l’autre ».

« Mais, lequel est le plus intelligent alors ? » demande l’enfant.

« Eh bien, il se trouve qu’ils ont tous les deux la même intelligence répartie de manière équitable… »

Le petit garçon s’exclame alors : « S’ils sont aussi forts, rapides et intelligents l’un que l’autre, comment je peux faire pour être optimiste alors s’ils sont toujours là tous les deux ? Tu dois savoir ça toi grand-père ? ».

À ces mots, le grand-père regarde son petit-fils dans les yeux, puis lui dit : « Oh oui je sais… Toute ta vie ils seront avec toi… Mais celui qui agira le plus pour toi et qui peut gagner, c’est celui que tu décideras d’apprivoiser, avec lequel tu passeras le plus de temps et à qui tu apporteras à manger… tous les jours ! ».

Ébahi par cette réponse, le petit garçon réfléchit un moment puis remercie son grand-père.

 

 

Merci à Philippe Gabilliet  pour cette petite histoire empruntée…

 

 

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L'ECOLE DE LA VIE EN 7 LECONS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                 

 

     

 

 

Mieux vivre: c'est plus pas facile que c'est compliqué, si l'on se réfère au mode d'emploi suivant:

 

Nous avons reçu un corps.  Nous pouvons l’aimer ou le détester, mais ce sera le notre pour tout le temps qui nous reste à vivre.

 

Nous suivons des cours. Nous sommes inscrits à une école que l’on nomme la Vie. Chaque jour dans cette école nous avons l’occasion d’apprendre quelque chose. Nous pouvons aimer ces cours ou penser qu’ils sont stupides ou arbitraires. Mais ce que nous prenons pour des erreurs sont des cours. Les  expériences « ratées » en font autant partie que celles qui sont « réussies ».

 

Un cours sera répété jusqu’à ce que nous le comprenions. Il nous est présenté sous des formes différentes, jusqu’à ce que nous ayons appris la leçon. Ensuite nous pouvons suivre le cours suivant. Ces cours ne s’arrêtent jamais.

 

« Demain » n’est pas mieux que « Maintenant ». Quant notre demain sera devenu maintenant, nous  aurons un nouveau demain qui, de nouveau nous semblera mieux que maintenant.

 

Les autres sont nos miroirs. Nous ne pouvons pas aimer ou détester quelque chose chez quelqu’un d’autre à moins que ce ne soit le reflet de ce que nous aimons ou détestons en nous-mêmes.

 

Ce que nous faisons de notre vie dépend de nous. Nous avons tous les outils et les ressources dont  nous avons besoin. Ce que nous en faisons nous regarde. C’est notre choix.

 

Les réponses aux questions que nous nous posons  sont en nous. Les réponses à nos questions sur la vie sont aussi en nous. Tout ce que nous devons faire est de regarder, écouter et avoir confiance.

 

 Et vous connaissant comme vous vous connaissez, qu'est-ce qui pourrait bien vous empêcher de réussir?

 

 

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Le stress

Si le stress ressenti, vécu, est indépendant de l'événnement ou de la situation qui l’a créé, le stress est utile voire indispensable pour agir, réagir et évoluer. Il est cependant toujours vécu comme une expérience profondément individuelle et personnelle propre à chacun.  

Etant donné par ailleurs, qu’il est illusoire et impossible d’éliminer toutes les sources de stress auxquelles nous pourrions être confrontés, nous devons donc apprendre à vivre avec et apprendre à le gérer à défaut de lutter contre.

Un stress bien maîtrisé dans son intensité et sa durée, est parait-il, même "bon"et positif!

Facile à dire?!   Ecoutez cette histoire....

Une psychologue marchait vers le podium tout en enseignant la gestion du stress à une audience avertie. Comme elle a soulevé un verre d’eau, tout le monde s’attendait à la question du « verre à moitié vide ou à moitié plein ». Au lieu de cela, avec un sourire sur son visage, elle demanda : « Combien pèse ce verre d’eau? »

 

Les réponses entendues variaient de 200 à 500 grammes. Elle a répondu : « Le poids absolu n’a pas d’importance. Cela dépend de combien de temps je le tiens.

Si je le tiens pendant une minute, ce n’est pas un problème.

Si je le tiens pendant une heure, j’aurai une douleur dans mon bras.

Si je le tiens pendant une journée entière, mon bras se sentira engourdi et paralysé.

Dans chaque cas, le poids du verre ne change pas, mais plus longtemps je le tiens, le plus lourd, il devient. »

Elle a poursuivi : « Le stress et les inquiétudes dans la vie sont comme ce verre d’eau.

 

Pensez-y pendant un moment et rien ne se passe.

 

Pensez-y un peu plus longtemps et ils commencent à faire mal.

 

Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentez paralysés incapable de faire quoi que ce soit ».

 

 

Pensez à déposer le verre !!!

 

 

 

Cette métaphore vous a plût ?  N’hésitez pas  à la  commenter et à la partager, merci!

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Ne laisser pas vos bonnes résolutions s'envoler!

 

 

 

Vous n’avez pas envie de renoncer à toutes les bonnes résolutions que vous avez prises en ce début d’année. Et pourtant, vous sentez déjà, votre motivation vaciller, vous vous êtes déjà trouvé(e) mille excuses pour reporter  repousser, et puis vous dites « c’est trop dur, je n’aurais pas le temps,... ».

 

Vous n’allez pas laisser tomber, Ah non ! Cependant que faire ? Voici quelques petites suggestions :

  

1)   Limitez le nombre de bonnes résolutions simultanées.

Pour commencer, ne retenez qu’une ou deux bonnes résolutions à mener à la fois. Vous réaliserez les autres après et vous les réussirez d’autant plus facilement que vous aurez eu du succès à la première.

 

Vous avez fait votre choix ? Alors continuons, examinons votre première bonne résolution.

 

2)      Définissez objectivement votre bonne résolution.

Pour mener à bien cette résolution, avez-vous en amont bien réfléchi à ce qui vous motive, au(x) bénéfice(s) que vous obtiendrez in fine, aux efforts qu’il vous faudra consentir, et ce à quoi vous devrez renoncer ?

Faites sur une feuille un beau tableau où vous inscrirez sous la forme qui vous conviendra (mots, dessins, photos,..) tous ces critères.

 

Oui ? Alors maintenant que vous visualisez et appréhendez les choses plus précisément ?

 

3)      Reformulez-la de manière simple.

 

Pour réussir, votre bonne résolution doit pouvoir être:

-       Formulée positivement

-       Vérifiable et observable

-       Cohérente entre les moyens retenus et le ou les effet(s) recherché(s)

-       Spécifique et contextualisée

-       Réaliste et réalisable

-       Respectueuse de votre situation et de votre environnement

-       En accord avec vos valeurs

-       Motivante

-       Temporalisée

 

Maintenant que votre bonne résolution est parfaitement définie et claire pour vous.

 

4)      Prévenez votre entourage.  

Vouloir changer, implique également que votre entourage accepte les changements induits. Soyez convaincants et sollicitez-le pour vous aider dans votre entreprise.

 

Vous êtes fin prêt, alors lancez-vous dans l’action concrète et faites le premier pas !

 

5)      Remerciez-vous à chaque petit pas.

Privilégiez les bonnes choses plutôt que de vouloir absolument bien faire les choses. Prenez le recul pour fêter, y compris avec votre entourage, chacune de vos réussites même les plus minimes.

 

 

Faites de votre vie un rêve et d’un rêve une réalité. 

                                                                                             A de Saint Exupéry

 

Très bon début d’année à vous!

Vincent

Et si malgré toute votre bonne volonté, votre organisation, votre motivation, vous sentez que vous n’y parviendrez pas seul, n’ayez aucune honte à vous faire aider : Faites vous accompagner !

Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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Arrêtez de toujours vouloir être gentil !

Demain, 13 novembre, c'est la journée mondiale de la gentillesse.


Mais pourquoi faudrait-il toujours être gentil? En quoi la gentillesse serait-elle une valeur si importe dans la sphère privée comme  professionnelle

C'est quoi être gentil? C'est dire comme nos enfants parfois: « C’est un bon professeur parce qu’il est gentil ! » ? Ne dit-on pas : « Mes voisins sont gentils, ils me disent bonjour chaque matin »…. « Un tel est remarquable, il est d’une gentillesse… » ?  Même notre président est qualifié de … gentil, c'est dire.... !

 

 

Bref, tout le monde se doit d’être gentil, un peu comme dans la chanson de Jacques Brel : «Être une heure, juste une heure, beau, beau… beau et con à la fois ! ». Mais hors de ce côté péjoratif et caricatural de la gentillesse à savoir « il (elle) est d’une naïveté qui confine à la bêtise » ou  « il (elle) se fait avoir tout le temps, trop facile! » ou bien encore « tiens voilà le faux-cul de service »,  vouloir « être gentil » traduit une réelle volonté de tout un chacun, d’être à la fois généreux, bienveillant et altruiste.

 

Cette louable attitude, souhaitée par tous et tout le temps,  est cependant bien souvent mise à mal pour cause de manipulations parfois démagogiques, d’apparences préservées ou de sélectivités : « Gentil avec son chef … un peu moins avec le personnel. »

 

L’AMBIVALENTE FAUSSE GENTILLESSE

 

En effet, est-ce « être gentil(le) quand nous agissons par excès de serviabilité  pour être mieux vus ou reconnus, quand nous ne faisons seulement que ce que nous aimerions qu’on nous fasse.  

Est-ce être gentil(le)  quand en disant toujours oui, nous ne cherchons qu’à éviter la dispute ou le conflit,  quand nous ne cherchons qu’à masquer notre méchanceté ?

Est-ce être gentil(le) que de se montrer trop flatteur ou dévoué envers autrui pour obtenir sa reconnaissance voire son amour ?

 

Non pas vraiment… Et bien souvent, nous sommes la première victime de notre fausse gentillesse car si nous agissons ainsi c’est parce que nous avons peur de l’autre. Peur qu’il voit notre part d’ombre, nos hontes cachées. Cela nous évite aussi de prendre nos propres responsabilités puisque nous ne faisons que répondre à la volonté de l’autre. Cela nous évite enfin de prendre le risque de « perdre l’autre » si nous lui disions non !

 

FINALEMENT, C’EST QUOI LA VRAIE GENTILLESSE

 

C’est être capable d’affirmer ses besoins tout en écoutant ceux des autres dans une relation égalitaire et authentique. Selon Charles Rojzman, « la vraie gentillesse ne se trouve pas à l’opposé de la méchanceté mais là où réside l’affirmation de soi. Savoir dire non, s’opposer, contester, se révolter nous permet en effet de dire pleinement oui, d’être réellement gentils lorsque nous le désirons ».

La gentillesse ne doit pas conduire au sacrifice. Elle est un acte altruiste né d’un choix affirmé et libre de toutes contraintes, qui procure un bon et beau sentiment renforçant l’estime de soi. La gentillesse est naturelle et dénuée d’intérêt personnel, elle ne s’exprime qu’avec le cœur !

 

ALORS COMMENT DEVENIR UN(E) VÉRITABLE GENTIL(LE)  

  • Apprenez à ne plus dire oui à tout !  A toutes  les sollicitations qui vous sont faites, temporisez, priorisez, choisissez ! Vous n’êtes l’esclave de personne : ni de vos enfants, ni de votre conjoint, ni de votre travail.
  • Ayez le courage d’affirmer vos désirs, vos propres idées et vos  goûts. Nul, ne vous en aimera moins. Nul, ne vous abandonnera pour cela !
  • Agissez avec bienveillance envers autrui comme envers vous-même. Il faut parfois du cran pour refuser d’aider quelqu’un parce vous pensez que ce n’est pas un bien à rendre en acceptant la demande.

 

La gentillesse, c’est l’amour de soi et des autres…  

 

Et le pire est que c’est contagieux et que ça commence maintenant, essayez!

 

Si vous souhaitez aller plus loin, n’hésitez pas à me contacter .

 

 

Le coaching n’est pas une thérapie… C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

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Pour une rentrée harmonieuse!


Vous souhaitez gardez votre bronzage et votre bonne humeur le plus longtemps possible?! Pour votre peau, je ne peux rien faire mais pour vous éviter la boule au ventre et le blues de la reprise, je vous propose ces 10 petites réflexions à méditer et à mettre aux couleurs de votre arc en ciel!

 

1. Etre conscient de nos valeurs et vivre en accord avec elles.

Les valeurs auxquelles nous sommes attachées nous portent, en vacances comme après. Les (re)connaitre nous rendent cohérents et clairs dans nos actes, nos objectifs. Elles facilitent nos décisions toute l'année.

 

2. Lâcher les fardeaux du passé.

Si notre passé à toute son importance, il n’en reste pas moins qu’il ne doit pas être un fardeau. Parfois nous nous  accrochons à des voix, à des faits qui viennent du passé, nous focalisant sur la perception d’injustices, sur des regrets, de la culpabilité. En libérant notre attention de ces événements, nous devenons plus forts, plus fiers et libres d’aller de l’avant. Trions et ne gardons que les bons souvenirs!

 

3. Envisager son futur.

Sachons où nous allons, même si la destination n’est pas vraiment précise. Ayons au moins une direction pour avancer, même vers un objectif aux contours encore flous. Chaque jour nous apportera sa contribution et nos actes ne seront plus dénués de sens. A défaut, envisageons nos prochaines vacances!

 

4. Vivre dans le Présent.

Clair avec notre passé et notre futur envisagé, nous avons alors le présent pour agir. Tout comme nos actes, la vie se déroule au présent  (Culpabilité = passé, Peur = futur). Sachons rester dans le présent pour être disponible aux opportunités. L’absence de culpabilité et de peur est un excellent indicateur de notre implication dans le présent.

 

5. Tout ce qui a été créé a d’abord été rêvé.

Tout rêve porte en lui, le germe de sa réalisation. Faire de ses rêves une réalité est une option et non une chimère.  Qu’ils nous paraissent trop ambitieux ou irréalistes, le simple fait qu’ils existent en rêve prouve qu’ils existent déjà un peu.  Qu'est ce qui pourrait réellement nous en empêcher? Alors engageons-nous dans leurs réalisations dès maintenant.

 

 6. Laisser les autres vivre leur vie.

Laissons les autres être ce qu’ils sont. Cette notion est très importante pour nous permettre d’être pleinement nous-mêmes et de nous concentrer sur votre vie.  Laissons tomber le « il ou elle devrait » ou toutes autres attentes concernant autrui. Ce fonctionnement est peu rentable pour notre vie et bien trop souvent générateur de déceptions et de stress inutiles.

 

7. Prendre soin de nous.

Nous sommes la seule personne avec laquelle nous pouvons  être sûrs de passer le restant de notre vie. Aussi, soyons prévenant et respectueux de nous-mêmes. Prenons soin de notre santé, de notre moral, de nos rêves… Pour autant, nous souhaitons donner aux autres : mais comment pourrions-nous donner ce que nous n’avons pas ? Pour donner, il faut du stock !!

 

8. Faire des réserves sur nos zones à risque.

Le stress se niche plus facilement sur le terrain du besoin et du manque. Pour éviter ce phénomène, prévoyons des réserves, de temps, d’amours, d’espace, d’argent et d’énergie sur nos zones à risque.

 

9. Rester centré sur son soi et ne pas se perdre pas dans le faire ou dans l’avoir.

Lorsque nous sommes concentrés sur ce que nous sommes et non sur ce que nous avons ou ce que nous faisons, nous avons moins de stress.  Pas plus que nous ne sommes nos actes ou nos possessions, si nous focalisons notre attention sur l’un ou l’autre ou les deux, nous risquons d’être soumis à des tensions ou des conflits.

 

10. Faire de son mieux.

Lorsque nous faisons de votre mieux, notre énergie, nos pensées et nos actes sont mobilisés et dirigés pour un but et/ou un résultat. Qu’importe in fine, ce dernier, c’est le chemin qui importe! Faire de son mieux, c’est être présent dans sa vie. 


Et vous, comment vous y prenez-vous pour vivre au mieux cette rentrée?

Merci de partager dans les commentaires vos propres astuces!



Merci à Anne pour sa magnifique photo: http://anne.marchand3.free.fr

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Réagir face à l'adversité


Pour illustrer ce propos, laissez-moi vous conter cette histoire :

 

Une jeune femme visite sa mère et lui parle de sa vie et comment elle a de la difficulté à passer à travers chaque journée. Elle ne sait pas comment elle va s'en sortir et elle envisage d'abandonner. Elle est tellement fatiguée de se battre continuellement. Elle a l'impression que lorsqu'un problème est résolu, un nouveau se présente.


Sa mère l'amène à la cuisine. Elle remplit trois casseroles d'eau et les place sur le feu. L'eau se met à bouillir rapidement.

Dans la première casserole, la mère ajoute des carottes. Elle met des œufs dans la deuxième casserole et elle met des grains de café moulu dans la troisième. Elle laisse reposer et bouillir, sans dire un mot.

 

Au bout d'un moment, elle ferme le feu. Elle égoutte les carottes et les place dans un bol. Elle sort les œufs et les met dans un bol. Finalement, elle vide le café dans un bol.

 

 Se tournant vers sa fille, elle demande : 

- Dis-moi ce que tu vois ? 

- Des carottes, des œufs et du café, répond la fille.

Sa mère lui demande de se rapprocher des carottes. La fille note que les carottes sont molles. La mère lui demande ensuite de prendre un œuf et de briser la coquille, ce que fait la fille. Cette dernière observe alors que l'œuf est dur. Finalement, la mère demande à sa fille de goûter au café.

 

La fille sourit en goûtant à l'arôme riche du café. La fille lui demande ensuite : 
- Qu'est-ce que ça signifie, maman ?

 

Sa mère lui explique que chacun de ces objets a fait face à la même adversité : de l'eau bouillante.

 

Chacun a réagi différemment. Les carottes sont arrivées fortes et dures. Cependant, après avoir été soumises à l'eau bouillante, elles se sont ramollies et sont devenues faibles.

Les œufs étaient fragiles. Leur coquille mince protégeait leur liquide intérieur, mais après avoir passé du temps dans l'eau bouillante, ils sont devenus plus durs à l'intérieur.

Les grains de café moulu étaient uniques, quant à eux. Après avoir été soumis à l'eau bouillante, ils ont changé l'eau.

 

La mère demande à sa fille : 

 

- Lequel es-tu ? Quand l'adversité frappe à ta porte, comment réagis-tu ?

 

Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café ?

Souviens-toi de ceci : Lequel suis-je ? Suis-je la carotte qui semble forte, mais qui devient molle et perd de sa force devant la douleur et l’adversité ?

 

Suis-je un œuf qui débute avec un cœur malléable mais qui change quand la situation se réchauffe ? Ai-je un esprit fluide, mais après un décès, une rupture, une difficulté financière ou un autre défi, suis-je devenu plus dur et fermé ?

 Et si ma coquille ressemble à toutes les autres, du côté intérieur, suis-je amer et dur avec un esprit rigide et un cœur de pierre ?

 

Ou suis-je un grain de café ? Le grain, en fait, change l'eau chaude, la circonstance qui amène la douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa flagrance et sa saveur. Si tu es comme le grain de café, quand les choses semblent être les pires, tu deviens meilleur et tu changes la situation autour de toi.

 

Quand les temps semblent les plus sombres et que les difficultés sont les plus grandes, est-ce que tu t'élèves à un autre niveau ? Comment gères-tu l’adversité ? Es-tu une carotte, un œuf ou un grain de café ?

 

Soyons tous des grains de café !!!

 

 #activaluecoaching

Vous souhaitez vous épanouir, vous affirmer, vivre  mieux en congruence avec vos valeurs, faites vous accompagner !

Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie… 

C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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BAC: une équipe gagnante à 100%

Pour un ADO, le Bac sanctionnera une étape de vie importante, parce que « réussir » cette épreuve augure d’un changement significatif qui l’entraîne inexorablement vers le monde adulte (professionnel).  

Au stress de cette période sensible, s’ajoute la pression sociale et celle des parents. Pas facile de réussir dans ces conditions. On a beau se foutre de tout en apparence en bon ADO qu’il se doit, il est plus difficile d’échapper à certaines emprises que d’autres…

 

Quant aux PARENTS, ils jouent bien souvent la réussite de toute leur éducation,  si le gamin réussi, c’est qu’ils ont été bons, s’il rate c’est qu’ils ont failli….

 

L’enjeu du BAC est donc, double. Aussi, je vous propose une méthode pour affronter plus sereinement cette période de stress :

 

 

Et si Vous, ADO & PARENTS, faisiez équipe ! D’accord ? Alors c’est parti !

Le cadre

Une équipe est un regroupement de personnes définis partageant chacun des compétences propres pour atteindre, avec le plus de plaisir possible, un objectif clairement fixé dans un délai imparti.

 

Un objectif commun, simple et partagé :  décrocher le BAC

 

La durée de l’épreuve : de maintenant jusqu’au jour du résultat

 

Valeurs à partager : humilité, honnêteté, humour, honneur….et toutes les vôtres !

 

Attention : un seul mot d’ordre  autorisé: chacun fait de son mieux.

A chacun sa feuille de match :

 

ADO C’est vous qui êtes sur le terrain et qui menez l’action.

 

Aussi, si tout commence par un rêve : la réussite aussi ! Alors autorisez-vous à la rêver. Visualisez-là. Ressentez-là. Pensez à la fête que vous allez faire si vous réussissez. Et après ça sera comment ?

 

Pratiquez la zen attitude ! N’en faites pas plus mais faites les bonnes choses et faites les biens c’est-à-dire avec concentration et organisation. A chacun son rituel journalier mais n’oubliez pas de prendre soin de vous : activités physiques et détente obligatoire ! Profitez de ce que vos parents sont aux petits soins pour vous et leur demander tous les petits plats que vous aimez.  Et surtout, dormez autant qu’il vous en plaira… sur vos deux oreilles!

 

Le stress c’est positif !  Apprivoisez-le ! Le stress améliore l’attention, permet de mobiliser l’attention et d’augmenter ses capacités mentales et physiques. Réviser ce n’est qu’entrainer son cerveau  à retrouver  les circuits empruntés par les informations ainsi que leurs lieux de stockage. C’est peut-être un peu tard pour apprendre intégralement l’ensemble du programme… pour autant on est jamais à l’abri d’un coup de chance ! Et puis, n’oubliez pas le plan B : si on perd on toujours le droit de rejouer ou de prendre un autre chemin pour réussir dans la vie.

 

Faites-vous aider 

N’ayez pas peur d’appeler un(e) camarade ou de rejoindre un groupe pour travailler ensemble. Vous pouvez également faire appel à un professionnel (professeur, coach,..) pour vous aider.

Surtout, profitez de cette période pour oser poser  toute les questions qui vous passent par la tête et vous obtiendrez ainsi toutes les réponses dont vous avez besoin pour réussir.

 

En bref, jouez, ne restez pas immobile !

 

 

PARENTS : Cantonnés aux vestiaires ou sur le banc de touche dans le rôle du sponsor inconditionnel, vous ne pouvez que soutenir l’action. Cela n’empêche nullement d’être efficace et bienveillant:

 

En restant à distance utile (sans intrusion) pour écouter, encourager et rassurer malgré toute la nécessaire ingratitude que l’ADO parfois vous renvoie.

 

 

En assurant la logistique, en offrant un environnement serein, en les aidant à cadrer leurs horaires,  en leurs proposant un régime  de « fleurs de Bach » et autres recettes adaptées qu’il(elle) aime…..

 

En rejetant vos propres angoisses, c’est bien souvent dans l’échec qu’on apprend le plus.  Le BAC, c’est un point de départ pas une finalité… Dites-lui que vous ne l’aimerez pas moins qu’il(elle) réussisse ou non.  Au fait, vous, vous avez fait comment à l’époque... Et si vous lui racontiez ?

 

 

Allez !! Que la partie commence !

 

Et qui sait, si vous êtes beaux joueurs, gagnerez-vous en plus la mention  TB !!!

 

 

Il n’est jamais trop tard pour agir et si vous avez besoin d’aide, 4 à 6 séances de coaching peuvent suffire pour retrouver l’énergie, la confiance, l’organisation et la concentration favorisant la réussite !

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Quand JE DÉCIDE remplace IL FAUT


Sollicité de toute part, est-il possible de passer une journée sans dire au moins une fois : « je dois…. » ou « il faut que … » ?  Ces incontournables devoirs, que l’on s’impose parfois soi-même, agacent, fatiguent et ruinent petit à petit notre motivation et notre bonne humeur.


Les exemples ne manquent pas : « Je dois passer chercher les enfants à 5 h. Il faut que je change de métier, j’en peux plus. Il faut que je répare ce robinet qui fuit depuis 3 mois. Je dois me rendre encore à cette réunion… ».

Kant écrit que « le devoir est une nécessité d’accomplir une action par respect pour la loi ». A chacun dans son cadre,  mais quel qu’il soit, cela implique en filigrane que l’on ne peut se soustraire à cette obligation sans se renier. Les anglo-saxons  ont, eux, une approche plus pragmatique, ils disent  « Duty is easy to know, it is what one wishes to say the least ». Le devoir est facile à connaitre, c’est ce qu’on désire le moins faire.

Mais, au-delà du débat philosophique, comment pourriez-vous vous y prendre finalement et sans tout foutre en l’air, pour vivre mieux ces situations imposées qui minent votre moral au quotidien?

 

Partant du postulat que décider, c’est exercer sa liberté, et qu’il vaut mieux choisir que subir. Vivre plus librement et donc implicitement plus heureux, reviendrait tout logiquement, à  s’autoriser de choisir, de décider et d’agir sur sa vie plutôt que de la subir et devoir toujours quelque chose.

Facile à dire mais comment faire ?

A défaut de refaire le monde, il existe pourtant une astuce facile qui, juste en changeant de vocabulaire, permet de modifier notre point de vue en réalisant ainsi une manipulation positive sur notre cerveau.

 

Vous souhaitez essayer? Aussi, plutôt qu’un grand discours, je vous propose un petit exercice qui vous aidera à vous en convaincre et à mieux vivre ce que vous avez à faire  en vous permettant de vous sentir rapidement un peu plus libre et maître de votre navire:

 

     1)      Pensez à trois choses que vous devez faire et prononcez à haute voix : « je dois…. »

 

     2)      Que ressentez-vous ?  

 

Pression, sentiment désagréable, contrainte limite… Pourquoi ? Parce qu’en fait c’est comme si vous abandonniez votre pouvoir à quelqu’un d’autre et c’est très désagréable.

 

     3)      Maintenant, remplacez le « je dois » par « je décide de faire … parce que… »

 

     4)      Ressentez-vous la même impression ? Non !  Comment expliquez-vous cela ?

 

Entrainez-vous, faites ce petit test pendant une semaine :

Essayez de renoncer aux « je dois faire – il faut que» et remplacez les par « je vais faire - je décide de faire – je choisis  »…

 

Il y a fort à parier que désormais, vous n’allez pas faire ou vouloir  les mêmes choses… !

 

Vous avez testé la méthode ?  Qu’avez-vous ressenti ? Qu’est-ce que cela a changé pour vous ?

 

 

#bienêtre

 

 

Vous souhaitez vous épanouir, vous affirmer, vivre  plus en congruence avec vos valeurs, faites vous accompagner !

Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie… 

C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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Le monde tel qu'on le regarde


Il était une fois un vieil homme, assis à la porte d'une ville, un livre ouvert devant lui.


Un jeune homme s'approcha de lui :

- « Je ne suis pas d'ici, je viens de loin; dis-moi, vieil homme, comment sont les gens qui vivent dans cette ville? »


Au lieu de lui répondre, le vieillard lui demanda :

- « Et dans la ville d'où tu viens, comment les gens étaient-ils donc?»

Le jeune homme, soudainement plein de hargne :

- « Égoïstes et méchants, au point qu'il m'était impossible de les supporter plus longtemps! C'est pourquoi j'ai préféré partir! »

Le vieillard :

- « Mon pauvre ami, je te conseille de passer ton chemin : les gens d'ici sont tout aussi méchants et tout aussi égoïstes! »

 

Un peu plus tard, un autre jeune homme se présenta au même vieillard :

- « Salut à toi qui sembles être un homme de savoir et de sagesse! Je débarque en ces lieux; dis-moi, comment sont les gens qui vivent dans cette ville? »

Et le vieil homme de le questionner :

- « Dis-moi d'abord, là d'où tu viens, comment les gens étaient-ils?»

Le jeune homme, dans un grand élan :

- « Honnêtes, bons et accueillants! Je n'avais que des amis. Oh, que j'ai eu peine à les quitter! »
Le vieillard :

- « Eh bien, ici également, tu ne trouveras que des gens honnêtes, accueillants et pleins de bonté. »

 

Un marchand, qui travaillait à proximité, avait tout entendu :

- « Comment t'est-il possible, ô vieil homme que je prenais jusqu'ici pour un sage, de donner, à la même question, deux réponses aussi diamétralement opposées? Ne serais-tu après tout qu'un mauvais plaisantin, un vulgaire comédien? »

 

- « Cher ami, déclara le vieil homme, chacun porte en son cœur son propre univers et le retrouvera en tous lieux. Ouvre ton cœur, et le monde changera en même temps que ton regard. »

 

 

Que vous inspire cette métaphore ? Quel regard portez-vous sur l’univers ?

 

#bien-être

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5 conseils pour devenir une belle personne parfaitement imparfaite

 

C'est une perfection de n'aspirer point à être parfait.  Fénelon

 

A vouloir toujours être parfait(e), vous vous épuisez, vous stressez et culpabilisez, vous ne savez pas profiter de vos réussites, vous reposer, vous êtes perpétuellement moroses, insatisfaits(es). Dans la vie professionnelle, le perfectionnisme peut vous conduire notamment au burn-out.  Dans la vie privée, il entraîne bon nombre de frustrations tant au sein du couple et avec les enfants que dans les amitiés ou autres activités sociales.

Certes, vous n’avez pas choisi  le chemin de la perfection par hasard. En général, cette tendance s’est développée pendant l’enfance où les pressions familiales, personnelles, sociales, médiatiques, et les modèles irréalistes vous ont grandement influencés. Vous n’avez alors, pas eu vraiment le choix pour tenter de grandir et vous grandir. Pour autant aujourd’hui, avec un peu de recul, vous pouvez dire stop à ce comportement perfectionniste qui, in fine, vous nuit plus qu’il ne vous épanouit. 

Winston Churchill disait non sans humour que pour s'améliorer, il fallait changer. Et donc pour être parfait, il fallait avoir changé souvent.Aussi, peut-être jugerez-vous également nécessaire de modifier quelque peu votre façon de penser pour vivre mieux en décalant légèrement votre regard sur certaines de vos croyances :


1             Vous en avez envie, faîtes-le !

Faire, dire, être : c’est par inhérente conséquence, critiquable en négatif comme en positif. Il est donc impossible d’y échapper mais nul ne peut vous obliger à vous arrêter l’écouter. Il y a toujours un risque à faire quelque chose, alors lancez-vous, bouchez-vous les oreilles et progressez petits pas par petits pas, à votre mesure.


2             Si vous ne savez pas, demandez !

Croyez-vous que l’on va vous juger incapable parce que vous ne savez pas ? Ne préfèreriez-vous pas croire que votre interlocuteur se sentira utile et appréciera parce qu’vous avez besoin de lui et que vous lui faites confiance pour ses compétences ? Ne restez pas seul(e) et soyez un plus ouvert encore. Faites juste un petit peu plus confiance aux autres. Que risquez-vous à demander l’heure à quelqu’un dans la rue, si ce n’est obtenir l’information dont vous avez besoin !


3             Choisissez d’être réaliste plutôt que parfait

Faire de son mieux, c’est mieux que de ne rien faire par peur de l’échec ou de ne pas être à la hauteur. Sans compter tout ce que vous avez déjà réussi ! Un coup d’œil rapide en en arrière, regardez : vous avez réussi bien plus de chose que vous n’en avez ratée, sinon vous ne seriez pas là où vous en êtes. Vous avez grandi, appris à marcher, à parler, à aimer,…. et ce soir, vous n’avez raté que le soufflé au fromage, ouf !


4             Arrêter de dire que vous n’avez pas le temps

Prenez simplement celui d’aller à votre rythme. Etre exigeant et tenace n’oblige nullement à se faire mal et à y passer toujours plus de temps. Seules les erreurs se répètent jusqu’à ce qu’elles soient comprises et c’est bien souvent là d’ailleurs que se niche le temps perdu. A contrario et pour en gagner, n’oubliez pas non plus que les « choses les plus  abouties » le sont, non pas lorsqu'il n'y a plus rien à  ajouter, mais lorsqu'il n'y a plus rien à retirer.


5             Et surtout faites-vous plaisir!

Ne faites plaisir et n’en donner que si vous en prenez aussi à faire les choses! Très bizarrement, l’effet attendu est exponentiellement bénéfique  et curieusement contagieux ! Bannissez de votre vocabulaire autant que possible, les « je dois, il faut »,  remplacez-les à convenance,  par «  je souhaite, je choisis,.. ». Bien sûr qu’il y a des impératifs dans la vie auxquels vous ne pouvez pas vous soustraire, cependant rien ne vous empêche de négocier avec vous-même sur la meilleure manière d’y répondre pour y trouver au moins un bénéfice qui vous conviendra en échange d’une petite imperfection acceptable.



Enfin, n’oubliez pas que si vie performante ne rime pas avec vie heureuse, bienveillance rime avec plus de chance de…. Réussir !


La perfection n’est pas de faire quelque chose de grand et de beau,

Mais de faire ce que l’on fait  avec grandeur et beauté.

Swami Rajnanpad

 

Si vous le souhaitez, testez  ici votre dépendance à la perfection.


Selon vous, en quoi cet impérieux besoin de perfectionnisme  vous pénalise-t’il dans votre quotidien ?


 

#coachingbienêtre

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TRAVAIL & BONHEUR


Peut-on associer le mot bonheur au monde du travail ? Est-ce antinomique ou simplement paradoxal, chacun possède un point de vue sur le sujet… Et si donner du sens aux choses permettait de travailler  à construire le bonheur auquel chacun aspire naturellement. 

Et comme une petite histoire vaut mieux qu’un long discours, je vous propose en guise d’illustration,  cette petite fable attribuée à l’écrivain Charles Peguy :

 

En se rendant à Chartres, Charles Peguy aperçoit sur le bord de la route un homme qui casse des cailloux à grands coups de maillet. Les gestes de l’homme sont empreints de rage, sa mine est sombre. Intrigué, Peguy s’arrête et demande :

- « Que faites-vous, Monsieur ? »

- « Vous voyez bien », lui répond l’homme, « je casse des pierres ». Malheureux, le pauvre homme ajoute d’un ton amer : « J’ai mal au dos, j’ai soif, j’ai faim. Mais je n’ai trouvé que ce travail pénible et stupide ».

 

Un peu plus loin sur le chemin, notre voyageur aperçoit un autre homme qui casse lui aussi des cailloux. Mais son attitude semble un peu différente.  Son visage est plus serein, et ses gestes plus harmonieux.

- « Que faites-vous, Monsieur ?», questionne une nouvelle fois Peguy.

- « Je suis casseur de pierre. C’est un travail dur, vous savez, mais il me permet de nourrir ma femme et mes enfants. »

Reprenant son souffle, il esquisse un léger sourire et ajoute : « Et puis allons bon, je suis au grand air, il y a sans doute des situations pire que la mienne ».

 

Plus loin, notre homme, rencontre un troisième casseur de pierre. Son attitude est totalement différente. Il affiche un franc sourire et il abat sa masse, avec enthousiasme, sur le tas de pierre. Pareille ardeur est belle à voir !

« Que faites-vous ? » demande Peguy

« Moi, répond l’homme, je bâtis une cathédrale ! »

 

 

Qu’est-ce qui fait que les mêmes contraintes d’un métier soient acceptables pour les uns, supportables ou inacceptables pour les autres ?

Et vous quelle est votre motivation, qu’est-ce qui vous fait vibrer dans votre travailQu’est-ce qui vous pousse à apprendre, entreprendre et réussir ?

 


Vous ne trouvez pas votre équilibre dans ce système, faites-vous accompagner.  Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous. Contactez-moi.


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RECONVERSION OU REORIENTATION

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Quid de vos bonnes résolutions?


Vous n’avez pas envie de renoncer à toutes les bonnes résolutions que vous avez prises en ce début d’année nouvelle. Pourtant, vous sentez déjà, votre motivation vaciller, vous vous êtes déjà trouvé(e) mille excuses pour reporter repousser, et puis vous dites « c’est trop dur, je n’aurais pas le temps,... ».

 

Vous n’allez pas laisser tomber ? Ah non ! Cependant que faire ? Voici quelques suggestions : 

1)      Limitez le nombre de bonnes résolutions simultanées.

Pour commencer, ne retenez qu’une ou deux bonnes résolutions à mener à la fois. Vous réaliserez les autres après et vous les réussirez d’autant plus facilement que vous aurez eu du succès à la première.

 

Vous avez fait votre choix ? Alors continuons, examinons votre première bonne résolution.

 

2)      Définissez objectivement votre bonne résolution.

Pour mener à bien cette résolution, avez-vous en amont bien réfléchi à ce qui vous motive, au(x) bénéfice(s) que vous obtiendrez in fine, aux efforts qu’il vous faudra consentir, et ce à quoi vous devrez renoncer ?

Faites sur une feuille un beau tableau où vous inscrirez sous la forme qui vous conviendra (mots, dessins, photos,..) tous ces critères.

 

Oui ? Alors maintenant que vous visualisez et appréhendez les choses plus précisément ?

 

3)      Reformulez-la de manière simple.

Pour réussir, votre bonne résolution doit pouvoir être:

-       Formulée positivement

-       Vérifiable et observable

-       Cohérente entre les moyens retenus et le ou les effet(s) recherché(s)

-       Spécifique et contextualisée

-       Réaliste et réalisable

-       Respectueuse de votre situation et de votre environnement

-       En accord avec vos valeurs

-       Motivante

-       Temporalisée

 

Maintenant que votre bonne résolution est parfaitement définie et claire pour vous.

 

4)      Prévenez votre entourage.

Vouloir changer, implique également que votre entourage accepte les changements induits. Soyez convaincants et sollicitez-le pour vous aider dans votre entreprise.

 

Vous êtes fin prêt, alors lancez-vous dans l’action concrète et faites le premier pas !

 

5)      Remerciez-vous à chaque petit pas.

Privilégiez les bonnes choses plutôt que de vouloir absolument bien faire les choses. Prenez le recul pour fêter, y compris avec votre entourage, chacune de vos réussites même les plus minimes.


Un objectif sans plan n’est… qu’un souhait.

Antoine de Saint Exupéry

 

Très bon début d’année à vous

 

Vincent



Et si malgré toute votre bonne volonté, votre organisation, votre motivation, vous sentez que vous n’y parviendrez pas seul(e): Faites-vous accompagner !

Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Pour en savoir plus, n’hésitez pas, à me contacter.  Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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C'est cadeau!


Un jour, une vieille femme qui se promenait dans les montagnes trouva une pierre précieuse au pied d'une cascade. Le lendemain, elle rencontra un voyageur qui avait faim et partagea avec lui la nourriture qu'elle avait dans son sac. Le voyageur affamé vit la pierre précieuse dans le sac entrouvert de la vieille femme, l'admira et demanda à la femme de la lui donner. La vieille femme lui tendit la pierre sans aucune hésitation.

Le voyageur repartit, heureux de sa bonne fortune. Il savait que la pierre valait assez pour le faire vivre durant toute sa vie.

Quelques jours plus tard, cependant, il revint dans les montagnes à la recherche de la vieille femme. Lorsqu'il la trouva, il lui remit la pierre et dit :


« J'ai réfléchi. Je sais combien vaut cette pierre, mais je vous la redonne dans l'espoir que vous m'offriez quelque chose de plus précieux encore. Si vous le pouvez, donnez-moi ce que vous avez en vous qui vous a permis de me donner la pierre. »

 

D’après une histoire d’Arthur Lenehan. 

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Construire un bon relationnel en 3 points

 

Avoir un bon relationnel ou améliorer la qualité de ses relations au quotidien est très simple si l’on y est attentif.

 

 Pour être efficace et juste, la première qualité c’est d’être sincère.

Ensuite, il faut être à l’écoute de l’autre, attentif et créatif.

 

L’avantage de la méthode, c’est de pouvoir la pratiquer à n’importe quel moment et de façon très simple. 

  

Voici trois points qui vous permettrons d’améliorer facilement vos relations au travail comme en famille ou avec vos amis.

 

  • Tenir comptes des petites choses et pas uniquement des grandes.

Les êtres humains ont besoin d’être reconnus. Ils veulent être reconnus par ce qu’ils sont, par leurs actions, leurs attitudes, leurs sentiments et leurs aspirations.

Très souvent les remarques sont faites sur ce qui n’est pas correct, pas réussi. Soyez une personne qui remarque et qui dit quand une belle ou bonne chose est faite. Sachez appréciez le bien, le beau, le bon.

 

  • Pratiquer le remerciement et l’appréciation.

Remerciez les personnes avec qui vous êtes en relation et les voilà prêtes à donner encore plus d’elle même. Pourquoi? D’abord, c’est très agréable de s’entendre dire que l’on est apprécié, et le fait que quelqu’un s’en aperçoive nous donne l’envie de continuer. Ayez conscience que « le penser » n’est pas suffisant, et si cela va s’en dire, cela va encore mieux en le disant !

 

  • Témoigner d’un intérêt actif.

« Parce que c’est toi… » : Annoncez à une personne la chose unique que vous appréciez chez elle. Lister ce que vous admirez chez votre partenaire ou une autre personne. Ensuite, partagez avec elle, cette liste. Il n’est pas nécessaire d’attendre une situation particulière pour lui dire, un compliment arrive toujours au bon moment… contrairement aux reproches. De même, faire un compliment à une personne de l’autre sexe n’est pas une demande en mariage, sachez faire des compliments sincères à ceux et celles qui le méritent.

 

Au bilan, en exprimant des compliments et/ou des remarques positives, vous allez générez encore plus de bien et de beau autour de vous, et vous développerez pour vous aussi l’envie de beau comme de bien. Effet boule de neige gagnant, garanti !

 

Dès aujourd’hui, essayez cette méthode avec votre entourage et partagez en commentaires, les effets immédiats et mesurables de cette manière de faire !

 

Si vous vous sentez seul(e) ou vous ne parvenez pas à vous sentir à l’aise dans vos échanges avec autrui, faites-vous accompagner : Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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L'enfer au paradis?

Selon un vieux conte japonais...


Un jour un samouraï belliqueux somma un maître zen de lui expliquer ce qu’était le paradis et l’enfer. Le moine lui répondit avec mépris :
- Tu n’es qu’un rustre, je n’ai pas de temps à perdre avec des gens de ton espèce.

Se sentant insulté, le samouraï devint furieux et tirant son épée cria :
- Je pourrais te tuer pour ton impertinence.
- Voilà ce qu’est l’enfer, répliqua le moine calmement.

Surpris par la vérité de ces paroles, le samouraï se calma, rengaina son épée, salua le maître et le remercia de l’avoir éclairé.
- Et voilà le paradis, ajouta celui-ci.


Celui qui sourit au lieu de s’emporter est toujours plus fort. Sagesse japonaise

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Le bonheur: comment s'y prendre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De la théorie à la pratique…

Il est rare que le bonheur soit au rendez-vous de la seule satisfaction de nos désirs et de la quantité de biens amassés.

 

 

Dans les faits,  ce sont nos comportements* qui nous procurent le plus de bien :

 


Cela ne coûte rien d’essayer ?  Qu’en pensez-vous ?

Merci de partager via les commentaires d’autres pratiques possibles !



*« Le fabuleux pouvoir de la psychologie positive » de Yves-Alexandre Thalmann (éditions Jouvence)


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L'arbre à soucis


Un jour, j’ai retenu les services d’un menuisier pour m’aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir terminé une dure journée au cours de laquelle une crevaison lui avait fait perdre une heure de travail, sa scie électrique avait rendu l’âme, et, pour finir, au moment de rentrer chez lui, son vieux pick up refusait de démarrer. Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il m’invita à rencontrer sa famille...

Comme nous marchions le long de l’allée qui conduisait à la maison, il s’arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout des branches de celui-ci de ses mains. Lorsqu’il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une étonnante transformation se produisit. Son visage devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et embrassa sa femme.

 

Lorsqu’il me raccompagna à ma voiture, en passant près de l’arbre, la curiosité s’empara de moi et je lui demandai pourquoi il avait touché le bout des branches de cet arbre un peu plus tôt. C’est mon arbre à soucis, me répondit-il. « Je sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis et les embûches qui traversent mes journées, mais il y a une chose dont je suis certain, ceux-ci n’ont aucune place dans la maison avec ma femme et mes enfants. Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les reprends le matin ».

 

« Ce qu’il y a de plus drôle », il sourit, « c’est que lorsque je sors de la maison le matin pour les reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille lorsque je les avais accrochés. »

 

 

Et vous, comment vous y prenez vous pour tenir à  bonne distance les difficultés du quotidien?

Merci de partager « vos trucs à vous » via les commentaires.

 

Et si, malgré tous vos efforts, vous ne parvenez pas à déconnecter de vos problèmes, de la pression… Pensez à vous faire accompagner pour obtenir des résultats concrets. 

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Faire de la place

 

La période est un peu maussade? Profitez-en pour faire le tri dans votre armoire à souvenirs...

 



Sans doute, il y a chez vous une grande et belle armoire. Elle a de nombreux rangements et tiroirs où vous mettez toutes les choses qui sont importantes pour vous et dont vous voulez prendre soin.


Vous adorez cette armoire pourtant vous savez qu’il y a des tiroirs que vous n’avez pas ouvert depuis longtemps.


Et, cela fait si longtemps que vous ne savez même plus ce qu’il y a dedans…

Qu’il est bon de temps en temps, de ranger et faire le ménage de toutes ces choses anciennes et qui prennent parfois trop de place !


Vous ouvrez votre armoire, vous choisissez un des tiroirs et vous regardez ce qu’il y a dedans, alors, vous y découvrez des choses oubliées depuis longtemps, certaines sont de bonnes surprises d’autres moins, vous pouvez décider de les conserver ou de les jeter si elles ne vous servent plus.


Après vous vous sentirez plus léger et vous aurez à nouveau de la place pour de nouvelles choses.



Et à vous, quel(s) effet(s), cela vous  fait?




Vous culpabilisez encore, vous avez peur de lâcher-prise… Faites-vous accompagner.

Le coaching n’est pas une thérapie…  C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

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La recette du bonheur

Laisse de côté tous les chiffres non indispensables à ta survie. Ceci inclut l'âge, le poids, la taille. Que cela préoccupe seulement le médecin, il est payé pour ça.

 

Fréquente de préférence des amis joyeux, les pessimistes ne te conviennent pas.

Continue de t'instruire... Apprends sur les ordinateurs, l'artisanat, le jardinage, etc...

Ne laisse pas ton cerveau inoccupé, un mental inutilisé est l'officine du diable. Et le nom du diable est Alzheimer !

 

Ris le plus souvent possible, et surtout de toi-même!

Quand viennent les larmes, accepte, souffre et ... continue d'avancer.

 

Accueille chaque jour qui se lève comme une opportunité, et pour cela, ose entreprendre.

Laisse tomber la routine, préfère les nouvelles routes aux chemins mille fois empruntés!

 

Efface le gris de ta vie et allume les couleurs que tu possèdes à l'intérieur.


Exprime tes sentiments pour ne jamais rien perdre des beautés qui t'entourent.

Que ta joie rejaillisse sur ton entourage et abats les frontières personnelles que le passé t'a imposées. Mais, rappelle-toi : l'unique personne qui t'accompagne toute la vie, c'est toi-même.

Sois vivant dans tout ce que tu fais!

 

Entoure-toi de tout ce que tu aimes : famille, animaux, souvenirs, musique, plantes, un hobby... tout ce que tu veux...

Ton foyer est ton refuge, mais n'en deviens pas prisonnier.

 

Ton meilleur capital, la santé. Profites-en, si elle est bonne ne la détruis pas, si elle ne l'est pas, ne l'abîme pas davantage.

Sors dans la rue, visite une ville ou un pays étranger, mais ne t'attarde pas sur les mauvais souvenirs.
Il y a des êtres qui font d'un soleil une simple tache jaune, mais il y en a aussi qui font d'une simple tache jaune, un véritable soleil.

 

Pablo Picasso



 Selon Pablo Picasso, la recette du bonheur est donc un cocktail magique de rires, de joies, de santé, de couleurs, d’amours, d’amis, de découvertes, de voyages, d’expériences… à partager !


Et vous quelle est votre recette?


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La liste des merveilles du monde


«Notre monde ne manque pas de merveilles, mais seulement du désir d’être émerveillé» – Gilbert Keith Chesterton



Un groupe de jeunes gens étudiaient en géographie les 7 merveilles du monde. À la fin d'un cours, le professeur demande aux étudiants de faire une liste de ce qu'ils croient être aujourd'hui les 7 merveilles du monde...

Sauf quelques désaccords, les étudiants ont pour la plupart écrit sur leur feuille de réponse :

1- Les Pyramides d'Égypte
2- La grande muraille de Chine
3- Le Taj Mahal en Indes
4- Les statues de l'Île de Pâques
5- Les pyramides de Chichen Itza au Mexique
6- Le Colisée de Rome
7- L'Alhambra en Espagne

Tout en recueillant les réponses, le professeur aperçoit une jeune fille bien tranquille qui n'a pas encore commencé sa réponse, alors, il lui demande gentiment si elle éprouve quelques difficultés avec cette liste à rédiger.

La jeune fille lui répond : "Oui, en effet; je ne peux vraiment pas me décider, il y en a tellement."
Le professeur de lui répondre : "Dis-moi ce que tu as trouvé, et je pourrai peut-être t'aider"

La jeune fille hésite, puis commence à écrire :

1- Voir
2- Entendre
3- Toucher
4- Sentir

Elle hésite encore un peu puis continue avec:

5- Courir
6- Rire
7- Aimer

 

Et vous, de quoi votre liste est-elle faite?

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Tous les jours et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux

Cette petite phrase désuète en apparence (mais à répéter 20 fois, trois fois par jour) vous fait sourire et vous fait penser au « je vais bien, tout va bien » d’un certain humoriste... Certes, en tout cas, à lui ; ça lui a réussi ! Et si, au-delà de l’humour et de la dérision…. Cette simple petite phrase vous ouvrait, à vous aussi, les clés de la réussite.


L’autosuggestion consciente ou la pensée positive est une méthode mise au point par le génial Emile Coué dont vous avez certainement entendu parler... Le placebo, par exemple,  c’est lui aussi !

Cette approche qui permet notamment de renforcer la confiance en soi, est simple et facile à mettre en œuvre.  

Elle se construit et s’appuie sur les principes et postulats suivants :

Le subconscient est à l'origine de nos états physiques et mentaux ; c'est par l’imagination que nous pouvons communiquer avec notre subconscient. Aussi, pour contrer les images et les représentations négatives aux effets sournois et dévastateurs, nous avons la liberté et la capacité d'imaginer le possible, le positif et la réussite !

Il s'agit bien d’utiliser l’imagination et non la volonté. Il ne s'agit pas de simplement vouloir…., mais  bien de s'imaginer…. .

 

1er postulat :

La première faculté de l'homme est l'imagination et cette dernière peut être conduite.

2ème postulat

Une pensée, bonne ou mauvaise, que nous avons en tête est pour nous la réalité, et a tendance à se réaliser. Alors autant ne choisir que les bonnes !

3ème postulat

Quand il y a lutte entre l'imagination et la volonté, c'est toujours l'imagination qui l'emporte sans aucune exception.

4ème postulat

Lorsque la volonté et l'imagination sont en accord, elles font plus que s'ajouter, elles se multiplient.

 

Pour reprendre l’exemple préféré de Monsieur Coué emprunté à Blaise Pascal, voici une petite illustration de ce que vous pourriez faire :

Chacun d'entre nous est capable de marcher sur une planche de 10 mètres de long et de 25 centimètres de large si celle-ci est posée sur le sol.

Supposons maintenant que cette planche soit placée au-dessus d’un fleuve tumultueux, peu de personnes seraient prêtes à s'élancer ! En effet, malgré tous les efforts de volonté possibles, la chute semble quasiment inévitable.

Car si dans le premier cas, l'imagination nous suggère que la traversée est facile, dans le second nous imaginons immanquablement la chute.

Et pourtant, l’équilibriste imagine, lui, qu'il peut le faire.

 

Alors, êtes-vous prêt(e) à vous lancer,  à répéter 20 fois « Tous les jours et à tous points de vue, je vais de mieux en mieux. », et cela 3 fois par jour ?

Avouez que la méthode est simple et en plus elle est gratuite !


A vous dans faire l’expérience  et de la partager dans les commentaires que j’espère nombreux ! 

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Etre & Avoir

 

Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.

Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux.
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.

Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.

Ce qu'Avoir aurait voulu être
Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maitre,
Le verbe Être s'est fait avoir.

Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu'Être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son égo.

Pendant qu'Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.

Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu'Être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.

Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.

Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu'Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.

Sa richesse est tout intérieure, 
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en pudeur,
Et sa noblesse est à ce prix.


Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se faire,
Ils conjuguèrent leurs efforts.

Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâche
Pour enfin se réconcilier.

Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.

Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,

Nos deux frères inséparable
Ont pu être et avoir été.

 

 

Yves Duteil

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Bouger les pierres

 

 

Un jour, un non-voyant était assis sur les marches d'un bâtiment avec un chapeau à ses pieds et un morceau de carton portant l'inscription : « Je suis aveugle, aidez-moi, s'il vous plaît ». 

Un publicitaire qui se promenait près de là s'arrêta et remarqua qu'il n'y avait que quelques centimes dans son chapeau. Il se pencha et y versa sa monnaie, puis, sans demander son avis à l'homme, prit le carton, le tourna et y écrivit une autre phrase.

 

Le même après-midi, le publicitaire revint près de l'aveugle et vit que son chapeau était plein de monnaie et de billets. Le non-voyant reconnut le pas de l'homme et il lui demanda si c'était lui qui avait réécrit sur son carton et ce qu'il avait noté.

 

Le publicitaire répondit : «Rien qui ne soit vrai, j'ai seulement réécrit ta phrase d'une autre manière», il sourit et s'en alla.

Le non-voyant ne sut jamais que sur son carton il était écrit: "Aujourd'hui, il fait soleil, et moi je ne peux pas le voir !».

 

Changez de stratégie quand les choses ne se passent pas bien et vous verrez que ça ira mieux.

 

Vous souhaitez du « meilleur » dans votre vie personnelle ou professionnelle ? 

Contactez-moi, le coaching n’est pas une thérapie…

C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 1er RDV gratuit

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Curieusement...

 

Quel effet produit sur vous la nouveauté ? Quel émerveillement ? Avoir envie de nouveauté, de renouveau, c’est ressentir le besoin de changer, d’aller plus loin et/ou différemment. 

 

 

Curieusement et contrairement à ce qu’on nous a, bien souvent, appris petit, la curiosité n’est pas un vilain défaut !!! Car la curiosité de soi et du monde, c’est le goût de la découverte, la saveur des expériences inédites, le plaisir d’apprendre sans la peur de l’évaluation.

En effet, pratiquer la curiosité sert à construire son équilibre et nourrir sa créativité quand, par exemple, vous réfléchissez à la qualité de vos relations, vous évaluez votre plaisir à vous lever le matin, vous mesurez la satisfaction de votre emploi du temps, vous vous intéressez à la nature des pensées qui vous traversent, ou bien, quand vous retenez les idées farfelues qui vous viennent spontanément…

 

Plus largement, se montrer curieux, demande :

  •  De développer son écoute et ses ressentis, d’en apprendre encore plus sur soi-même,
  • D’accueillir des propos différents des siens,
  • De s’émerveiller des idées géniales qui fusent ici et là et de se s’approprier celles qui vous conviennent,
  • D’être attentif aux signes de la vie, ces messages subtils qui vous guident vers sa réalisation personnelle

 

 

Finalement, être curieux(se) facilite la vie puisque cela permet :

C’est se débarrasser des vieux dossiers, histoires, rancunes qui ne servent plus à rien,

C’est se recueillir avec soi-même pour savoir où l’on en est avec ses rêves,

C’est se laisser aller à la découverte de nouvelles perceptions sur des sujets peu connus,

C’est goûter de nouvelles sensations, des nouvelles saveurs, tester des recettes improbables,

C’est pratiquer quelque chose de nouveau chaque jour comme prendre un chemin inhabituel pour observer de nouveaux endroits, ou encore modifier l’ordre de nos actions courantes, pour vous donner de multiples occasions de toujours découvrir et changer de regard.

 

La curiosité est une aptitude à travailler sans cesse pour rester éveillé(e) et épanoui(e).

 

 

 

Le coaching peut vous amener à cet épanouissement par la découverte des nombreuses facettes de votre personnalité. Êtes-vous curieux, curieuse, d’explorer les trésors cachés que vous recelez en vous? Alors, prenons rendez-vous.

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JE M'EN FOUS DE GAGNER..?

 

Vous en avez marre du culte de la performance, de la mode du gagnant/gagnant, vous n’y croyez pas ! D’une part, vous ne gagnez jamais pleinement et d’autre part, vous n’avez pas l'esprit de compétition ! Pour vous, c’est déjà pas mal de participer !  Et puis surtout, ce dont vous avez horreur  c’est que gagner signifie obligatoirement, faire perdre les autres ou leur faire du tord?

 

Pourtant, quand gagner signifie avant tout : atteindre son objectif, alors gagner ne veut pas forcément dire "BATTRE les autres" ! 

 

-                            Quand vous voulez rencontrer une belle personne pour un jour,  fonder une famille….   

-                            Quand vous voulez gagner plus de reconnaissance professionnelle par exemple, pour pouvoir prétendre à tel poste qui mettrait plus en valeurs vos compétences et vous offrirait l’opportunité de faire d’autres choses…..

-                            Quand vous souhaitez gagner plus d'argent, pour avoir une plus grande maison, prendre de plus belles vacances, offrir plus de loisirs à vos enfants, leur offrir de meilleures études...

 

...Personne n'est obligé de perdre pour que vous y parveniez !

 

On peut gagner, sans forcément avoir l'esprit de compétition, et sans faire perdre qui que ce soit! Fixez-vous un objectif spécifique, réalisable, concret, mesurable… Ayez confiance en vous et entreprenez. Votre seul ennemi, n’est que vous-même…

 

Et quand votre inévitable succès viendra, c’est pourtant tout votre entourage qui sera également gagnant !

 

Quoiqu’il en soit, vous n’avez rien à perdre à essayer ! Chiche ?!

 

C’est notre lumière qui nous effraie le plus, pas notre ombre. Nelson Mandela


Pour autant, vous pouvez vous faire accompagner pour réussir dans cette entreprise. Le coaching est un outil formidable pour vous aider à atteindre rapidement, des résultats concrets !

 

Le coaching n’est pas une thérapie… 

C‘est vous qui décidez du chemin, de ce qui est juste et bon pour vous.

 

 

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